La recherche des conditions d’un cessez-le-feu, puis d’une paix durable entre l’Ukraine et la Russie n’entraîne aucune remise en cause des responsabilités de la Russie comme envahisseur. Elle n’exonère pas non plus les deux belligérants d’avoir préparé cette guerre depuis plusieurs années. Elle n’exonère ni Poutine de sa phobie de « l’Occident » et de sa volonté de conquête, ni l’OTAN sous la coupe des USA d’avoir « encerclé » la Russie malgré les promesses de ne pas le faire…