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Le monopole de la violence d’Etat n’est pas toujours légitime et légal

Des mouvements sociaux se soulèvent une révolte populaire s’étend mondialement, de la place Tahir en Egypte, jusqu’à la Puerta del sol en Espagne, de même qu’en France et dans de nombreux pays d’Europe. Pour lutter contre ces mouvements luttant notamment pour la démocratie, la répression policière se renforce. Un des derniers exemple fut l’évacuation par la force et la violence, de milliers de manifestants pacifiquement de la Place de Catalogne à Barcelone. De même à Paris, le 29 mai 2011 à la Bastille, les 8000 manifestants pacifiques « réclamant une « démocratie réelle maintenant ont été évacués par la force. La répression actuelle en Syrie s’inscrit dans le même registre, mais à un niveau très nettement supérieur, puisque des tortures et des assassinats sont commis par les forces policières.
Lorsque les dirigeants Etats sentent que leur pouvoir est menacé même pacifiquement, ils usent régulièrement de la violence. Généralement ils agissent dans le cadre de l’Etat de droit, dans ce cas c’est légal sans être toujours légitime. Mais parfois ceux qui sont censés faire respecter la loi, la violent eux-mêmes. Examinons à présent formes d’action du pouvoir répressif dans sa dimension illégale.

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