Cette question, tout militant sincèrement de gauche se l’est posée au moins une fois. Il faut dire que ce dernier, s’il suit l’actualité, peut être intimidé par les termes du débat public. D’un côté, des personnes qui prétendent monopoliser les combats féministes et antiracistes, avec force polémiques sur les barbecues écocidaires, la vie sentimentale agitée de tel ou tel homme politique, la recrudescence de « l’islamophobie » ou encore la « cancel culture ». Cette liste est bien entendu non exhaustive, tant l’imagination de nos professionnels…