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- Combat laïque
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  • lettre 977

Combattre les feux croisés contre la laïcité

par Zohra Ramdane

 

Dans ce combat, nous avons besoin de plus de radicalité – au sens étymologique « d’aller à la racine » -, de plus de cohérence politique et de plus de rassemblement humain. Pour cela, nous proposons au débat général argumenté 12 exigences.

1) D’abord, commencer par faire ce que peu d’hommes ou de femmes responsables politiques ou syndicaux font aujourd’hui : expliciter la définition historique de la laïcité, à savoir la totale liberté de conscience, l’universalité du principe pour toutes et tous, la séparation stricte de la société civile (incluant le domaine public et la plage par exemple) d’une part, des sphères de l’autorité politique et de constitution des libertés (école, sécurité sociale et services publics). Il faut enfin que le lien politique entre citoyens soit débarrassé de tout lien préalable d’une autre nature (1)Voir nos ouvrages dans la Librairie militante du site ReSPUBLICA et nos podcasts audio Éducpod réalisés par le Réseau Éducation Populaire..

2) La transcription juridique de la laïcité a fonctionné avec quatre textes et non un seul : la loi promulguée le 9 décembre 1905 et les trois circulaires de Jean Zay du Front populaire (1er juillet et 31 décembre 1936 et 15 mai 1937). La loi de 2004 n’est que le retour à la circulaire du 15 mai 1937 après la forfaiture de Lionel Jospin en 1989 qui a inséré dans son projet de loi scolaire de 1989 un article contradictoire avec la circulaire. Mais pour revenir à la circulaire de 1937, nous avons dû batailler lors d’une campagne que nous avons coanimée du 21 octobre 1989 (date du rassemblement de Créteil : 1300 personnes) au 18 octobre 2003 (lendemain de l’audition de Jean-Paul Costa, vice-président de la Cour européenne des droits de l’homme, à la commission Stasi).

3) La loi promulguée le 9 décembre 1905 a été violée de nombreuses fois, soit par des modifications de la loi elle-même, soit en application de la hiérarchie des normes de l’ordre juridique avec une loi postérieure. Et grâce à cela, la plupart  des édifices religieux construits ces dernières années ont été subventionnés par de l’argent public et cela pour les quatre principaux cultes. Au moins deux cathédrales catholiques, un temple évangélique de sept étages, des mosquées musulmanes et des synagogues juives. Ainsi, le discours de certaines associations « Pas touche à la loi de 1905 » ne provoque qu’éclats de rire des lobbies religieux. Car depuis des années, les cadeaux que constituent des baux emphytéotiques quasiment gratuits et l’abandon la distinction entre cultuel et culturel dans les financements ont créé des « trous dans la raquette » …

4) La laïcité n’est qu’un principe d’organisation sociale et non une valeur ou une opinion. On peut être laïque et croyant, on peut être laïque et non croyant, mais on peut être aussi anti-laïque et athée ou agnostique, et anti-laïque et croyant.

5) Comprendre le réel avant de proposer l’idéal. Et pour comprendre le réel, il ne faut pas simplifier, il faut au contraire clarifier le complexe. Pour la première fois de l’histoire, nous avons quatre adversaires : l’extrême droite, la droite installée, l’extrême centre macroniste (selon le concept de l’historien Pierre Serna) et la gauche identitaire. Il faut donc les combattre les quatre à la fois car ils sont tous les quatre des alliés directs ou indirects de l’oligarchie capitaliste. Et c’est l’oligarchie capitaliste qui est le principal soutien de la gauche identitaire, par son pouvoir de nomination dans les postes qu’elle crée, son pouvoir de financement. Le capitalisme a besoin de ces quatre forces qu’il utilise comme un général utilise ses bataillons sur un champ de bataille.

6) Aujourd’hui, aucune direction de grandes organisations politiques, syndicales ou associatives ne promeut avec cohérence et volontarisme le principe de laïcité. Quant aux autres, elles sont archipélisées comme jamais et vivent dans l’entre-soi. Mais dans toutes ces organisations, il y a des militants attachés au principe de laïcité énoncé ci-dessus.

7) Jamais dans l’histoire, il n’y a eu une avancée laïque sans avancée sociale. Plus encore, les avancées ou les reculs s’effectuent en même temps sur le social et le laïque. De ce fait, toutes les actions ne portant que sur la laïcité n’ont au mieux aucune chance d’aboutir !

8) Si la laïcité est née en France, c’est uniquement parce que la France a été le plus grand pays d’immigration du monde depuis le XIIIe siècle. Dans les années 1920, le taux d’immigration était plus fort en France qu’aux Etats-Unis ! Aujourd’hui, le phénomène d’immigration est généralisé par la mondialisation néolibérale. Conséquence : le principe de laïcité devient une nécessité internationale. Si elle recule en France, elle progresse dans beaucoup de pays du monde.

9) Depuis une soixantaine d’années, le plus grand nombre de martyrs en raison de leurs idées sont des martyrs de la laïcité : depuis les massacres de 1965 en Indonésie, jusqu’aux assassinats de Mohamed Boudiaf en Algérie, de Mohamed Brahmi et de Chokri Belaïd en Tunisie et bien sûr de toutes les victimes françaises que nous connaissons tous et toutes

10) A terme, pour développer une politique de gauche laïque, démocratique, sociale, féministe et écologique, il conviendra de constituer un bloc historique mobilisé avec la classe populaire ouvrière et employée. Sans elle rien n’est possible, car cette classe populaire détient un des ressorts indispensables aux conquis laïques dans l’histoire, la capacité de résister et de vaincre dans la lutte des classes engagée par l’oligarchie au pouvoir. La perspective de développement des principes démocratiques, laïques, sociaux, féministes et écologiques avec en ligne de mire l’objectif d’une République sociale (2)Idem. est à ce prix. Pour l’instant, cette classe ne fait que grossir les rangs des abstentionnistes et non de l’extrême droite. Pour ceux qui ont suivi la dernière visioconférence de ReSPUBLICA, en comparant les résultats électoraux de 2017 à 2021 nous avons corroboré ce point. Notre adversaire est bien le capitalisme et non directement l’extrême droite. Cette dernière n’est qu’une des armes du capitalisme lui-même, utilisée quand ses autres auxilliaires ne sont plus capables de maintenir l’ordre bourgeois. Se tromper d’adversaire rajoute toujours au malheur du monde.

11) Voilà pourquoi notre réseau et ses trois outils – ReSPUBLICA, Réseau Éducation Populaire, Combat laïque-Combat social, fédérer le peuple – ont soutenu les chercheurs Beaud et Noiriel lorsqu’ils ont été attaqués en meute par la gauche identitaire parce qu’ils réalisaient sur le plan intellectuel une sorte de concaténation d’un ensemble de principes qui sous-tendent notre projet de République sociale. Nous souhaitons que cette réaction ait permis de donner un coup d’arrêt au développement fulgurant de la gauche identitaire dans les milieux intellectuels, avec un début de rassemblement, notamment chez les sociologues et historiens républicains. Cela remplace avantageusement ceux des laïques qui, tout en conservant le discours formel de la laïcité qu’ils ont toujours tenu, pensent qu’ils pourront faire avancer les choses dans une stratégie compatible avec le néolibéralisme !

12) Préparer un nouveau bloc historique pour la liaison des combats démocratiques, laïques, sociaux, féministes et écologiques, c’est comprendre que nous avons l’impératif catégorique (au sens d’Emmanuel Kant) de lutter contre l’entre-soi, contre l’archipélisation, maladie infantile de la gauche laïque, et donc d’agir ensemble, de débattre ensemble avec des arguments raisonnées et non pas mus par nos émotions. Ce qui implique de redonner la priorité à la formation politique et à l’éducation populaire refondée, même si cela demande plus de temps et de travail que de petits exposés simplificateurs, format privilégié par les principaux médias…
Et en dernier lieu, n’oublions pas de nous soutenir mutuellement sans conditions, lorsqu’il s’agit de s’affronter à nos quatre adversaires.

Hasta la victoria siempre !

 

Notes de bas de page

1 Voir nos ouvrages dans la Librairie militante du site ReSPUBLICA et nos podcasts audio Éducpod réalisés par le Réseau Éducation Populaire.
2 Idem.
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L'avènement de la République à l’île de la Réunion et la fin de l’esclavage (8 et 9 juin 1848)

"Faire de l'histoire populaire"

par Philippe Duffau

 

NDLR – Nous avons précédemment salué le lancement de l’initiative de l’historien Gérard Noiriel à l’occasion d’une première livraison : Faire de l’histoire populaire. « Marx et la Commune de Paris. De la guerre des races à la lutte des classes ».
Il s’agit du deuxième épisode. Voir https://www.cinemutins.com/faire-de-l-histoire-populaire , durée 50 minutes, intervenant Gérard Noiriel

La question coloniale, question importante s’il en est, est abordée de manière à mettre l’accent sur les relations complexes entre « ceux d’en haut et ceux d’en bas », entre dominants et dominés. Il y a également la volonté de sortir de la focalisation sur la métropole et sur Paris.

L’éloignement de la métropole, 9 300 km entre l’île de la Réunion ou île Bourbon et Paris, explique le décalage entre le moment où est renversée la monarchie de Juillet (22-25 février 1848) et proclamée la IIe République et le moment où la nouvelle parvient à la Réunion (8 juin 1848).

Le gouvernement nomme, le 13 octobre 1848, un représentant à la Réunion, un Commissaire général de la République (nouveau titre en lieu et place de « gouverneur »), Joseph Napoléon Sébastien Sarda-Garriga. Il a pour mission d’appliquer sur place la loi d’abolition définitive de l’esclavage votée le 27 avril 1848 à Paris, plus de cinq mois après.

La tableau ci-après (dû à Alphonse Guessan) visait à  populariser et faire accepter l’idée d’abolition. Il a la particularité de ne représenter que les Noirs alors que la société réunionnaise est beaucoup plus diversifiée.

Le commissaire Sarda-Garriga cherche à éviter l’antagonisme entre Noirs et Blancs et prend le temps de convaincre des bienfaits d’une telle loi. La proclamation officielle de l’abolition est publiée, à la Réunion, le 20 décembre 1848 qui demeure un jour férié dans l’île.

Humanisme et racisme

Les propos tenus par la plupart des républicains nourris d’humanisme montrent que le regard porté sur la société réunionnaise demeure racial et s’appuie sur la séparation Noirs/Blancs ; républicains et donc opposé à l’esclavage mais convaincus de l’existence des races et de la supériorité des Blancs.

Gérard Noiriel met l’accent sur la réalité très diverse de l’Empire colonial français. L’occupation de l’île de la Réunion est plus tardive que dans les Caraïbes et fut gérée par la Compagnie des Indes avant de l’être directement par le pouvoir de la métropole. En 1686, il n’y avait que 216 habitants.

Trois faits marquent l’histoire de l’île.

1er fait : implantation de la culture du café qui induit le recrutement d’esclaves ce qui porte la population en 1763 à 22 000 habitants dont 18 000 esclaves.

2e fait : la période révolutionnaire à partir de 1792 avec une première abolition de l’esclavage décrétée par la Convention sous l’autorité de Robespierre. Les révoltes violentes des esclaves à Saint-Domingue avec Toussaint Louverture et la proclamation de la première République noire de l’histoire préparent les esprits. Absence de violence à La Réunion ; les planteurs qui empêchent l’application du décret conventionnel.

3e fait : au début du XIXe siècle, basculement de la culture du café vers le sucre. L’économie sucrière exige beaucoup plus de main d’œuvre. En 1848, la population de l’île s’élève à 103 000 habitants dont 62 000 esclaves.

Une situation sociologique, sociale et économique très diverse occultée : une réalité qui contredit le discours universaliste

L’économie n’est pas centrée sur le sucre contrairement aux Caraïbes. La société réunionnaise très diverse se révèle être de par l’origine des habitant, diversité que Sarda-Garriga ne voit pas :

  • premiers esclaves : origine Indes
  • seconde arrivée d’esclaves : origines, Madagascar, Afrique de l’Est

La diversité est pourtant visible, entre Malaisiens, Bengalis, Malabars, Blancs. Sarda-Garriga établit une fausse équivalence, comme le tableau ci-dessus, entre Noirs et esclaves. Il y a de plus des esclaves affranchis appelés « libres de couleur », des mulâtres issus d’unions mixtes dont certains sont riches et peuvent posséder des esclaves. Une différence s’établit entre les esclaves nés dans l’île, les Créoles (1) et les autres tardivement recrutés.

L’idéologie des libertés occulte, à cette époque, les différences sociales, culturelles et la diversité des statuts socio-économiques.

Système de domination sociale

Les dominants sont constitués des familles issues des premiers colons. Les dominés sont :

  • Les esclaves :
    • 48% sont des esclaves de la « pioche » (travail dans les plantations…)
    • 12,5% de gardiens chargés de surveiller les autres esclaves
    • 10% au service des familles
  • Les « libres de couleur » : domestiques, petits paysans, engagés sous contrat (sorte de serfs)

Ce monde est chapeauté par un régisseur, contre-maître au service direct du patron. Le régisseur dirige des « commandeurs » esclaves « l’élite » chargés de « bandes » ou équipes travaillant dans les champs, les forêts, la fabrique ou la domesticité. Malgré ces statuts qui semblent fixes, les esclaves sont soumis à une certaine poly activité. Selon la saison, ils sont dans les cultures, se font maçons ou charpentiers.

Plusieurs raisons objectives ont conduit à cette abolition

  • Se donner le beau rôle du libérateur alors que les esclaves n’ont pas attendu passivement.
  • 1685, le Code noir qui permet au pouvoir royal de contrôler ce qui se passe
  • Évolution dans les métropoles : 1807, interdiction de la traite en Angleterre, 1833 interdictions de l’esclavage par les Anglais. Or l’Océan indien est dominé par les Britanniques.
  • L’idéologie des Lumières.
  • Pénalisation de la traite sous Louis-Philippe.
  • Certains planteurs sont sensibles à l’idéologie des Lumières et constatent qu’il n’est pas très rationnel d’utiliser des esclaves. Certains se lancent dans la mécanisation avec l’introduction de la machine à vapeur qui permet de réduire la main d’œuvre.

L’abolition facilite le passage au salariat.

D’une forme de domination à une autre : fondement du libéralisme

1848 est au départ une révolution ouvrière qui exalte le travail et la fierté de son travail. A la Réunion, la proclamation instituant l’abolition s’adresse aux travailleurs pour inciter les esclaves libérés à continuer à travailler afin de rassurer les planteurs qui pourront préserver leurs profits. Le statut d’esclave passe à celui d’« engagé » ou plus réaliste de « serfs ». C’est la liberté du travail : « Vous êtes libres mais il faut bien manger et vous devez vous engager. Nous vivons en fraternité. Nous sommes une grande famille et nous sommes tous égaux mais les maîtres ne pourront pas vous payer tout de suite. Il faudra être patient. » Les dominés passent ainsi d’une contrainte politique à une contrainte économique.

Cette pensée est contredite par la publication au même moment du Manifeste du Parti Communiste qui prône la lutte des classes.

Les dominants s’adaptent toujours. Ils cèdent mais recomposent une autre forme de domination. Ils obtiennent des indemnisations suite à l’abolition à hauteur de 6 millions de francs pour tout l’Empire colonial dont 30 % iront à des hommes de couleur. La nouvelle organisation de la production sans esclaves et suite à la modernisation de l’outil de travail va entraîner une augmentation de la prospérité de planteurs.

Engagisme, un quasi servilisme digne du servage du Moyen-Âge

Quant aux anciens esclaves, 35 000 sur 60 000 refusent le système de l’engagement. Il est recouru à l’immigration de travailleurs pauvres sans droits civiques et donc plus malléables. De 1823 à 1933, les 200 000 engagés sont originaires d’Australie, de Madagascar, de Chine, d’Indochine, du Bengale, d’Afrique de l’Est, d’Arabie… Les 2/3 viennent d’Inde et 1/3 sont africains.

Le contrat d’engagement empêche toutes négociations sur la durée de travail, le niveau de salaire, interdit les déplacements hors des limites de la propriété, oblige à se loger dans des camps. Les terribles conditions de travail provoquent une forte mortalité (25 %) et conduisent à des demandes de rapatriement (25 %). Le système de l’engagisme devrait être nommé « servilisme ». (2)

NOTES

1/ Créole : la notion de créolisation revient dans les propos de J-L Mélenchon qui y voit « le chaînon manquant entre l’universalisme et la réalité vécue qui le dément». « C’est un espace où la dispersion permet de se rassembler ». Est-ce une façon de tenir les deux bouts entre les républicains « classiques » ou universalistes et les adeptes de la pensée antiraciste indigéniste, décolonialiste… pour parvenir à un métissage qui ne serait ni une dilution ni une archipélisation, une égalité qui ne serait pas une uniformisation ? Est-ce une façon d’évoquer Jean-Jaurès qui proposait de « partir du réel pour aller à l’idéal » ?

2/ Albert Camus : « Mal nommer un objet, c’est ajouter au malheur de ce monde.»

 

Brèves
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J -2 avant la fin de notre collecte sur KissKissBankBank !

par ReSPUBLICA

 

Notre collecte de financement participatif, dont la durée était fixée à 45 jours, arrive très bientôt à son terme : elle s’achèvera mercredi 14 juillet à minuit. Si vous comptiez participer et que vous ne l’avez pas encore fait, il reste donc encore quelques heures pour pouvoir faire progresser un peu plus notre collecte.

Nous sommes d’ores et déjà très heureux d’avoir pu compter sur le soutien de nos lecteurs. Le but initial de la collecte était de pouvoir financer la rénovation du site de ReSPUBLICA dont l’interface avait 20 ans ! Nous travaillons depuis plusieurs semaines avec une graphiste et notre webmaster pour mettre au point une nouvelle charte graphique et une nouvelle arborescence pour le site. Le travail de rénovation est déjà bien entamé et nous avons hâte de vous montrer le résultat à la rentrée !

Le succès rapide de la collecte nous a permis de fixer un nouvel objectif afin de réaliser deux autres chantiers pour le site de ReSPUBLICA : renforcer sa sécurité et améliorer son référencement. Grâce à quelques dons par chèque hors de la plateforme KissKissBankBank, nous nous rapprochons du second palier qui était fixé à 10 000 euros.

Outre ces chantiers techniques, nous avons également la volonté de développer davantage notre média, notamment en produisant plus d’analyses et de contributions originales dans la période prochaine qui s’annonce cruciale politiquement.

Nous remercions une nouvelle fois nos lecteurs d’avoir manifesté leur attachement à ReSPUBLICA ! Nous n’attendons pas le n° 1 000 symbolique : rendez-vous à la rentrée de septembre pour découvrir le nouveau site avec le n° 978 !

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(Re)lectures d'été : deux dossiers récents dans ReSPUBLICA

Amérique latine - Commune de Paris

par ReSPUBLICA

 

Six mois d’actualités électorales et politiques en Amérique latine

De janvier à juin 2021, onze article de notre correspondant, Lucho. Avec un retour sur les principaux scrutins ayant eu lieu depuis octobre 2019

Une année d’élections sur le sous-continent latino-américain : 2019-2020 – 1e partie Préambule – Argentine et Uruguay : gaucherepublicaine.org/respublica/une-annee-delections-sur-le-sous-continent-latino-americain-2019-2020-1e-partie/7419675

Une année d’élections sur le sous-continent latino-américain : 2019-2020 – 2e partie Bolivie, Colombie et Brésil : http://www.gaucherepublicaine.org/respublica/une-annee-delections-sur-le-sous-continent-latino-americain-2019-2020-2e-partie/7419981

Une année d’élections sur le sous-continent latino-américain : 2019-2020 – 3e partie Venezuela : http://www.gaucherepublicaine.org/respublica-monde/une-annee-delections-sur-le-sous-continent-latino-americain-2019-2020-3e-partie/7420125

En Équateur, le libéralisme vacille Les élections présidentielles et législatives du 7 février : http://www.gaucherepublicaine.org/respublica/en-equateur-le-liberalisme-vacille/7420486

Ingérences américaines et complicités européennes. Bien des questions se posent sur ces attitudes interventionnistes et partisanes : http://www.gaucherepublicaine.org/respublica-monde/ingerences-americaines-et-complicites-europeennes/7420883

El Salvador : élections législatives et municipales Une photo surprenante 30 ans après les accords de paix : http://www.gaucherepublicaine.org/respublica-monde/el-savador-elections-legislatives-et-municipales/7421296

Venezuela : une vision partagée. L’Amérique latine, chasse gardée de Washington : http://www.gaucherepublicaine.org/respublica-monde/venezuela-une-vision-partagee/7421473

Amérique latine : des élections sous l’œil des États-Unis, seigneurs d’un autre temps. Pérou, Equateur. http://www.gaucherepublicaine.org/respublica-monde/amerique-latine-des-elections-sous-loeil-des-etats-unis-seigneurs-dun-autre-temps/7422375

Colombie : la révolte en marche. Le premier producteur mondial de cocaïne déploie pourtant une main de fer contre les mouvements sociaux depuis des décennies. http://www.gaucherepublicaine.org/respublica/colombie-la-revolte-en-marche/7423005

Chili : la revanche de Salvador Allende Élection historique pour une Constituante paritaire – Entretien avec Luis. http://www.gaucherepublicaine.org/a-la-une/chili-la-revanche-de-salvador-allende/7424234

Actualités de l’Amérique latine Pérou : second tour des élections présidentielles / Mexique : élections législatives-régionales et locales / Colombie : la révolte continue. http://www.gaucherepublicaine.org/respublica-monde/respublica-amerique/actualites-de-lamerique-latine/7424777

Commémoration de la Commune

Textes publiés au cours des dernières semaines, à l’occasion des 150 ans de la Commune de Paris.

Printemps 1871, la floraison des Communes dans toute la France… et au-delà même de l’Hexagone ! : http://www.gaucherepublicaine.org/respublica/printemps-1871-la-floraison-des-communes-dans-toute-la-france-et-au-dela-meme-de-lhexagone/7421046

Les combats inachevés des Communardes : http://www.gaucherepublicaine.org/respublica-culture/respublica-histoire/les-combats-inacheves-des-communardes/7421532

Les Communes de Paris : l’émancipation anticipée : http://www.gaucherepublicaine.org/chronique-devariste/les-communes-de-paris-lemancipation-anticipee/7421540

Les Communes de Paris : l’émancipation anticipée. Seconde partie – Action culturelle et éducation politique des masses : http://www.gaucherepublicaine.org/respublica/les-communes-de-paris-lemancipation-anticipee-2/7421671

La Commune de Paris, la banque et la dette : http://www.gaucherepublicaine.org/respublica-culture/respublica-histoire/la-commune-de-paris-la-banque-et-la-dette/7421889

« Hugo et la Commune », par Robert Duguet : un républicain radicalisé : http://www.gaucherepublicaine.org/respublica-culture/hugo-et-la-commune-par-robert-duguet-un-republicain-radicalise/7423902

Faire de l’histoire populaire. « Marx et la Commune de Paris. De la guerre des races à la lutte des classes » : http://www.gaucherepublicaine.org/a-la-une/faire-de-lhistoire-populaire/7424663



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