Néolibéralisme et crise de la dette, par Bernard Teper et Michel Zerbato
Néolibéralisme et crise de la dette, par Bernard Teper et Michel Zerbato
mars 2012, 128 p. 8,50 €
en libraire – ISBN 979-10-90966-02-4 (suite…)
Néolibéralisme et crise de la dette, par Bernard Teper et Michel Zerbato
mars 2012, 128 p. 8,50 €
en libraire – ISBN 979-10-90966-02-4 (suite…)
« Je me préoccupais surtout d’introduire jusque dans la société d’aujourd’hui des formes nouvelles de propriété, à la fois nationales et syndicales, communistes et prolétariennes, qui fissent peu à peu éclater les cadres du capitalisme. C’est dans cet esprit que lorsque la Verrerie ouvrière fut fondée, je pris délibérément parti contre…
Voici les 2 derniers extraits de l’entetien exclusif qui a été accordé par Jean-Luc Mélenchon à la rédaction de ReSPUBLICA. Cette semaine il est question de services publics, protection sociale et planification écologique. Vous pouvez voir l’ensemble de l’entretien en cliquant ici : entretien avec Jean-Luc Mélenchon. (suite…)
Plus de 85% des créanciers privés (banques, assurances, fonds de pension…) ont accepté jeudi soir de participer à la restructuration de la dette grecque en effaçant 107 milliards d’euros. Sur le papier, ces créanciers renoncent ainsi à 53,5% de leurs créances. Mais contrairement aux apparences, le CADTM affirme que cette opération est surtout une bonne nouvelle pour les banques grecques et européennes (principalement françaises et allemandes), pas pour le peuple grec à qui on promet de nouvelles détériorations de ses conditions de vie. (suite…)
Selon les relevés chiffrés du CSA, les temps de parole à la télévision sur les chaines dites généralistes (suite…)
Pendant que la campagne électorale présidentielle démarre avec force en France, il se passe bien des choses inquiétantes. (suite…)
On connaît l’histoire initiale.
La grande Révolution française édicte la première rupture laïque de l’histoire de l’humanité. La création de la République installée le 22 septembre 1792 engage la France dans une dynamique démocratique et laïque. Une loi de séparation est votée mais jamais appliquée. (suite…)
Voici les 2 extraits de cette semaine de l’entetien exclusif qui a été accordé par Jean-Luc Mélenchon à la rédaction de ReSPUBLICA. Nous publions 2 extraits par semaine. Vous pouvez voir l’ensemble des extraits déjà publiés en cliquant ici : entretien avec Jean-Luc Mélenchon. Prochaines vidéos, le 12 mars. (suite…)
Il y a quelques jours un article de Rue 89 revient sur les propos de Paco Ibañez qu’il a tenus au cours d’un concert à propos de Jean-Luc Mélenchon sur les langues régionales déclarant : « Ah oui, Mélenchon ! J’ai lu dans un journal qu’il avait dit : “La France, c’est un pays, avec une langue !” S’il a vraiment dit ça, qu’il ne vienne pas me voir ! C’est un fasciste ! » ; Puis : « C’est ni plus ni moins ce que disait Franco, c’est du fascisme ! » (suite…)
Voici les 2 extraits de cette semaine de l’entetien exclusif qui a été accordé par Jean-Luc Mélenchon à la rédaction de ReSPUBLICA. Nous publions 2 extraits par semaine. Vous pouvez voir l’ensemble des extraits déjà publiés en cliquant ici : entretien avec Jean-Luc Mélenchon. Prochaines vidéos, le 5 mars. (suite…)
Voici les 2 extraits de cette semaine de l’entetien exclusif qui a été accordé par Jean-Luc Mélenchon à la rédaction de ReSPUBLICA. Nous publions 2 extraits par semaine. Prochaines vidéos, le 27 février. (suite…)
Le temps où il fallait prendre mille précautions pour rassurer ceux qui avaient peur d’un 21 avril 2002 est révolu. Le vote dit utile doit être considéré pour ce qu’il est. Une manœuvre pour limiter dès le départ le choix aux élections présidentielles entre deux candidats qui, ayant appelé à voter oui aux référendum de 2005 sur la constitution européenne et ayant ensuite trahi le peuple français en se mettant d’accord sur le traité de Lisbonne copie conforme de celui qui avait été rejeté par la nation, sont disposés à se soumettre à la logique politique et économique imposée par Bruxelles en collaboration avec le FMI. (suite…)
Voici les 2 premiers extraits de l’entetien exclusif qui a été accordé par Jean-Luc Mélenchon à la rédaction de ReSPUBLICA. Nous publierons 2 extraits par semaine. (suite…)
(…) À lire la une du Monde, vous ne risquez pas la surinformation à propos de la Grèce… (suite…)
Grâce à Christiane Marty, coauteure du livre Un impôt juste pour une société juste (Syllepse, 2011), les lecteurs de Respublica auront d’emblée, en faveur de la suppression du quotient familial, un argumentaire simple et vigoureux dans le premier article de ce numéro. Dans le blog de Jean Gadrey sur le site de Alternatives économiques, on en trouvera une version plus longue et davantage chiffrée sous le titre « Le quotient familial, un coûteux privilège de classe » qui a ouvert un débat d »économistes et suscité de nombreuses et immédiates réactions. (suite…)
Un débat sur le bien fondé du quotient familial s’est engagé dernièrement sur la scène politique. Défendu à droite, critiqué à gauche, le quotient familial… divise. Rappelons que ce terme désigne le dispositif qui prend en compte les enfants dans le calcul de l’impôt sur le revenu. Il procure aux ménages une réduction d’impôt qui augmente – assez logiquement – avec le nombre d’enfants mais surtout – ce qui est problématique – avec le revenu. L’avantage fiscal est en effet très fortement concentré au bénéfice des ménages disposant des revenus les plus élevés : les 10% de foyers avec les plus hauts revenus se partagent 46% du total de la réduction d’impôt liée au quotient familial (soit 6,4 milliards d’euros en 2009) tandis que les 50 % les plus pauvres se partagent seulement 10 % de la somme (c’est-à-dire moins de 1,4 milliard). (suite…)
Alors que Nicolas Sarkozy vient de déclarer qu’il n’est pas question de fermer la centrale nucléaire de Fessenheim, nous vous proposons cet article de Thierry de Larochelambert. Nous souhaitons, avec cette première contribution, lancer un débat dans nos colonnes sur les différentes politiques énergétiques possibles. Bonne lecture, la rédaction.
Les deux conditions imposées à EDF par l’ASN (Autorité de Sûreté Nucléaire) pour le redémarrage du réacteur n°1 de la centrale nucléaire de Fessenheim – renforcer le radier d’ici le 30 juin 2013 ; installer des refroidissements de secours avant le 31 décembre 2012 –, si elles représentent un coût et des contraintes importants pour l’exploitant, ne sont pas suffisantes et ne doivent pas cacher les risques que présenterait la remise en service pour dix années supplémentaires d’un vieux réacteur qui a divergé il y a près de 34 ans, ainsi que celle du second réacteur de la centrale. (suite…)
C’était à la fin de l’émission-débat sur France 2, entre Martine AUBRY, première Secrétaire du Parti « socialiste », et le ci-devant François FILLON, Premier Ministre de son état (de son État ?). Croyant faire moderne et voulant visiblement trancher avec les habitudes ou l’agressivité généralement de mise dans ces rendez-vous télévisés de campagne électorale entre « personnalités » politiques, la première des socialistes français a subitement quitté le ton rogue avec lequel elle éreintait à intervalles réguliers les propos de son vis-à-vis, et s’est avisée d’adresser tout à trac au chef du gouvernement, un satisfecit des plus spontanés pour l’intervention des pouvoirs publics qui a « permis de sauver l’emploi » des 92 salariées jetées à la rue une semaine plus tôt par le Tribunal de Commerce de Lyon. Merci pour LEJABY… (suite…)
Le MEDEF est aux anges, il peut faire couler le champagne. En une demi-année, voilà le troisième plan de rigueur et d’austérité de l’ordolibéralisme français. Les ménages et notamment les couches populaires (53% de la population française) et les couches moyennes intermédiaires (24% de la population française) seront les principaux payeurs, alors qu’ils ne sont en rien responsables de la triple crise actuelle. Le capital, qui est la cause de la triple crise, ne sera appelé à contribuer que de façon très minime et seulement après les présidentielles…
Et, de surcroît, les mesures annoncées manifestent le mépris des citoyens et de la démocratie. (suite…)
François Hollande s’était engagé à « inscrire les principes fondamentaux de la loi de 1905 sur la laïcité dans la Constitution ». Malheureusement, le programme du candidat, publié le 26 janvier, fait apparaître une proposition 46, au mieux rédigée par des amateurs, au pire sournoisement anti-laïque :
« La République assure la liberté de conscience, garantit le libre exercice des cultes et respecte la séparation des Églises et de l’État, conformément au titre premier de la loi de 1905, sous réserve des règles particulières applicables en Alsace et Moselle. » (suite…)