Étonnante condamnation de la psychiatre Danièle Canarelli

Lire attentivement le jugement de condamnation du docteur Canarelli nous laisse bouche bée : un an de prison avec sursis parce qu'un de ses patients a commis un assassinat 20 jours après s'être échappé. Qu'est-ce qui justifie une telle sévérité ? Nous avons consulté de nombreux psychiatres, dont des chefs…

La psychiatrie publique risque-t-elle d’être condamnée ?

Communiqué commun du 21 décembre 2012 : Intersyndicale de Défense de la Psychiatrie Publique (IDEPP) Syndicat des Psychiatres d’Exercice Public (SPEP) Syndicats des Psychiatres des Hôpitaux (SPH) Union Syndicale de la Psychiatrie (USP) Les Organisations signataires des Psychiatres Publics ont appris avec consternation la condamnation à un an de prison…

L’Institut Montaigne fixe le nouveau cap du néolibéralisme pour 2013

L’Institut Montaigne, qui ne vit que grâce aux fonds privés de l’oligarchie, propose de réaliser 60 Mds d’euros d’économies nouvelles sur la dépense publique pour l’ensemble des administrations publiques, dont près d’un tiers concerne l’assurance maladie et les personnels hospitaliers.
Dans un document d’environ 140 pages intitulé Redonner sens et efficacité à la dépense publique, l’Institut propose 15 mesures pour réduire encore la dépense publique. (suite…)

Des vœux pour ceux qui nous lisent et pour ceux qui ne nous lisent pas

Chaque aventure éditoriale procède d’une ambition ; dès le début celle de ReSpublica était de l’ordre du politique, je vais m’en expliquer.
Ce journal appelle d’abord à refuser d’être une poussière sur la table des débats, jusqu’au prochain rendez-vous électoral. A réfléchir avant d’apporter son bulletin de vote à ceux qui feront « bon » usage de notre mélancolie et de notre nausée. A ne pas céder à la tentation de l’abstention qui gagne tant de nos concitoyens.
Pour tous ceux qui ne veulent plus être balayés d’un revers de parole, il est nécessaire de lire et échanger des opinions mais également de partager nos inquiétudes sur les promesses des politiques.
Car les années de la Présidence précédente et les premiers mois de l’actuelle nous appellent à être vigilants à l’égard de toutes les propositions de campagne… C’est pourquoi nous refusons les reculades, les temporisations pour créer du débat alors qu’il n’en était pas besoin, et alors même que la capitulation en rase campagne devant les diktats européens a été immédiate…

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