La république nous appelle… à sa refondation. Le cercle Archimède vous invite à visiter son site
Le cercle Archimède est un club de réflexion (think tank en anglais). Un de plus me direz-vous ? (suite…)
Le cercle Archimède est un club de réflexion (think tank en anglais). Un de plus me direz-vous ? (suite…)
« La meilleure forteresse des tyrans, c’est l’inertie des peuples » (Machiavel)
« Rien n’est plus puissant qu’une idée dont l’heure est venue » (Victor Hugo)
Rien n’est plus inefficace que l’impatience des couches moyennes supérieures radicalisées. (suite…)
Les politiques néolibérales ont amené de nouvelles techniques de management. Résultat immédiat, la souffrance au travail augmente : troubles musculo-squelettiques (TMS), stress, suicides, etc. (suite…)
Notre modèle politique est épuisé. Pour penser le modèle politique alternatif, il faut d’abord le penser sous tous ses aspects, sous toutes ses lumières et sous toutes ses ombres. Donc penser aussi la ville, ses finalités, la façon de la construire. Pour cela, une étude critique des politiques urbaines suivies ces dernières décennies est nécessaire. Comprendre les enjeux qui se jouent en ville également. (suite…)
Disons-le tout net ! Nous n’aimons pas le titre, mais nous avons adoré le livre (1)La République contre son École écrit par Eddy Khaldi et Muriel Fitoussi, édité par Démopolis. 21€.
Car il y a longtemps que la France n’est plus en République. La sphère de constitution des libertés (école, services publics, protection sociale) — qui est la matrice des droits-créances pourtant indispensables pour compléter les droits-libertés si nous voulons la République sociale du 21e siècle — a été tuée par les politiques néolibérales. Et comme la république n’existe plus en France, on ne peut pas dire que c’est elle qui est responsable des maux de l’école. (suite…)
Notes de bas de page
| ↑1 | La République contre son École écrit par Eddy Khaldi et Muriel Fitoussi, édité par Démopolis. 21€. |
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Ainsi va la vie ! Que la droite soutienne la dictature des marchés, le cœur de leur électorat peut le comprendre. Mais à chaque fois que les socialistes et autres sociaux libéraux (comme la majorité des partis écologistes) soutiendront cette dictature des marchés, elle sera décapitée. Le PSOE vient d’en faire l’expérience avec 4, 5 millions de citoyens qui l’ont abandonné. (suite…)
Voilà un ouvrage qui décrit les conséquences de l’introduction des méthodes managériales du néolibéralisme dans l’hôpital. (suite…)
Pour comprendre l’actualité grecque, il convient de ne pas perdre son temps à écouter le 20 heures de TF1 et de France 2. (suite…)
On parle beaucoup du droit des femmes à l'étranger, et à juste titre. Mais regardons également ce qui se passe chez nous. De plus en plus, le droit positif ne suffit plus. Vous avez beau déclarer un droit opposable en matière de logement, le manque de logement et de volonté…
Nous savons depuis longtemps que la bataille sociale et politique ou la bataille des idées est directement liée à la bataille des mots. Depuis que les communautaristes ethniques et religieux ont accepté le mot « laïcité » (ce qui n’a pas été si facile), ils tentent d’en pervertir le sens en y adjoignant un adjectif. (suite…)
Cette triple crise (économique, financière et de la dette publique) alimente les discours des uns et des autres. De nouveau, une banque importante, DEXIA (banque des collectivités locales), est en situation de faillite (voir l’article de Daniel Munevar du CADTM dans ce même numéro). (suite…)
La victoire de la gauche au Sénat est la conséquence des mutations sociologiques et politiques profondes qui travaillent la France. Elles sont les véritables causes du fait que la gauche est pour la première fois et sera sans doute pour longtemps majoritaire au Sénat. (suite…)
Nous sommes habitués aux mauvais coups que les politiques ordo-libérales ((Dans la famille de pensée néolibérale, la pensée dominante aujourd’hui est l’ordolibéralisme. Cette théorie née en Allemagne donne à l’État la responsabilité de créer le cadre légal et institutionnel de la concurrence « libre et non faussée ». Elle crée une division des…
Après le programme révolutionnaire du CNR en matière de protection sociale (1)La protection sociale comporte actuellement 4 branches de la Sécu (Assurance maladie, Retraites, Famille, Accidents du travail et Maladies professionnelles) et 3 branches hors Sécu (Assurance-chômage, Personnes âgées et dépendance et Handicap). L’ensemble est le premier budget humain (soit 31,3 % de la richesse produite mesurée par le PIB) qui est proche du double du budget de l’État, tous ministères confondus. et la déconstruction méthodique réalisée par le turbocapitalisme depuis près de trente ans, il convient de penser pour sortir de la crise actuelle un nouveau modèle politique incluant un nouveau développement de la protection sociale solidaire. (suite…)
Notes de bas de page
| ↑1 | La protection sociale comporte actuellement 4 branches de la Sécu (Assurance maladie, Retraites, Famille, Accidents du travail et Maladies professionnelles) et 3 branches hors Sécu (Assurance-chômage, Personnes âgées et dépendance et Handicap). L’ensemble est le premier budget humain (soit 31,3 % de la richesse produite mesurée par le PIB) qui est proche du double du budget de l’État, tous ministères confondus. |
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Pascale Le Néouannic (1)Pascale Le Néouannic, Conseillère régionale, Présidente du Groupe Front de Gauche & Alternatifs à la Région Ile-de-France ; conseillère municipale d’opposition à Antony (92), Secrétaire nationale du Parti de Gauche en charge des Libertés, de la Laïcité et des Institutions. vient de commettre un livre (2)Petit manuel de laïcité à usage citoyen (135 pages, petit format) écrit par Pascale Le Néouannic édité dans la collection Politique à gauche de Bruno Leprince 6 euros, livre préfacé par Henri Pena-Ruiz que nous devons populariser, car c’est un outil d’éducation populaire tournée vers l’action de première importance. Avant de parler de son livre, replaçons-le dans le contexte diachronique du combat laïque. (suite…)
Notes de bas de page
| ↑1 | Pascale Le Néouannic, Conseillère régionale, Présidente du Groupe Front de Gauche & Alternatifs à la Région Ile-de-France ; conseillère municipale d’opposition à Antony (92), Secrétaire nationale du Parti de Gauche en charge des Libertés, de la Laïcité et des Institutions. |
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| ↑2 | Petit manuel de laïcité à usage citoyen (135 pages, petit format) écrit par Pascale Le Néouannic édité dans la collection Politique à gauche de Bruno Leprince 6 euros, livre préfacé par Henri Pena-Ruiz |
La crise ouverte à l’été 2007 et qui a entraîné, suite à la faillite de Lehman Brothers le 15 septembre 2008, le krach bancaire et financier de l’automne 2008, suscite bien des commentaires et des propositions de solutions, de la part, tant des économistes que des partis politiques. (suite…)
Alexandra Kollontaï posant la question du féminisme et de l’égalité réelle des hommes et des femmes s’est vu répondre par le parti bolchevique que l’objectif de la révolution et de la prise du pouvoir par le prolétariat était surplombant par rapport aux objectifs secondaires demandés par la révolutionnaire. Olympe de…
Cette question est d’importance. Tout autant que la ligne politique et que la ligne stratégique. Elle est d’importance pour toutes les institutions qu’elles soient supranationales, nationales, locales. Mais elle se pose aussi pour toutes les organisations politiques, syndicales, associatives ou professionnelles. Ne pas se poser la question du fonctionnement d’une institution ou d’une organisation et de sa capacité à résoudre les contradictions qui y surgissent, c’est entrer dans une impasse ou vouloir tout expliquer par des problèmes de personnes ce qui revient au même. (suite…)
Voilà la question que ne se pose pas les grands médias, fascinés qu’ils sont par les esthétiques royales, cléricales, extrême-droitières et par les grands destins individuels censés diriger le monde. En fait, toute leur prose, toutes leurs images, sont portées par cette fascination esthétique ou par leur tentative d’expliquer l’évolution du monde uniquement portée par des destins individuels. A la question posée dans le titre de cette chronique, ils répondent tous en cœur : « le candidat, bien sûr ! » (suite…)