La dette publique dans l’œuvre de Marx
À la lecture du texte suivant, n’avez-vous pas envie de placer le financement de la protection sociale par la cotisation sociale via des institutions salariales déconnectées de l’État ? (suite…)
À la lecture du texte suivant, n’avez-vous pas envie de placer le financement de la protection sociale par la cotisation sociale via des institutions salariales déconnectées de l’État ? (suite…)
La crise ouverte à l’été 2007 et qui a entraîné, suite à la faillite de Lehman Brothers le 15 septembre 2008, le krach bancaire et financier de l’automne 2008, suscite bien des commentaires et des propositions de solutions, de la part, tant des économistes que des partis politiques. (suite…)
« La crise c’est quand le vieux se meurt et que le jeune hésite à naître »,
Antonio Gramsci
Comme chaque année au moins de juin, nous reprenons la plume pour tenter d’analyser une crise unique dans l’histoire du capitalisme. Une crise qui poursuit son évolution inéluctable en direction de la fin de l’ère du monopolisme financier et bancaire. La banque moderne, née en Italie au tournant des années 1500, est devenue le cœur du système. Rien ne lui échappe et les diverses autonomies économiques ou politiques ont progressivement disparu. Point d’orgue de ce processus : la globalisation achevée après la fin du bloc de l’est en 1989. Au sein de notre courant politique, depuis 1997, nous caractérisons cette période par le concept de « turbo capitalisme ». (suite…)
La bourse remonte, les entreprises du CAC40 retrouvent des profits records et les traders touchent de nouveau des primes colossales, nous sommes donc sortis de la crise nous font croire les médias. Et ce n’est pas le gouvernement qui va démentir préférant jouer de la méthode Coué alors que les effets du « plan de relance » s’estompent. (suite…)
« La crise c’est quand le vieux se meurt et que le jeune hésite à naître » Antonio Gramsci
Il y a un an, dans notre article de juin 2009, nous tentions de définir les caractéristiques profondes de la crise que nous traversions.
Nous insistions tout particulièrement sur son caractère systémique, c’est-à-dire que toute mesure visant à servir de panacée à la crise est en fait un accélérateur de la dépression. Dans cette conjoncture, les remèdes dits keynésiens n’avaient aucune chance de réussite, du fait en particulier du caractère hyper monopoliste du turbocapitalisme contemporain, et de l’imposition de « circuits longs » dans la production et la consommation des marchandises en dehors des espaces nationaux (contrairement aux années trente). (suite…)
« La crise, c’est quand le vieux se meurt et que le jeune hésite à naître« . Antonio Gramsci
En juillet prochain, la crise dite des « subprimes » aura déjà deux ans. Ses conséquences pour les peuples sont dramatiques : 2008 a été une année de « stagflation », c’est-à-dire de stagnation des PIB sur quasiment l’ensemble de la planète, doublée d’une inflation massive des matières premières et des produits agricoles ; 2009 sera une années de dépression marquée par une déflation liée à la crise de la demande qui existe depuis septembre dernier et l’effondrement du système financier mondial. (suite…)