La grande paresse du capitalisme français
Dans la déferlante de la mondialisation ambiante, alimentée par l‘idéologie dominante et l’Europe libérale administrée depuis Bruxelles, le mot d’ordre est – on ne le sait que trop – l’adaptation tous azimuts : des effectifs des entreprises, des aides de l’Etat, des règles du marché du travail, de la gestion des marchés publics, des marchés tout court et par voie de conséquence, des organisations de production qui les peuplent. (suite…)