Relaxe !
Le tribunal correctionnel m’a relaxé ce jour dans l’affaire dite Guinot. (suite…)
Le 4 octobre, les Ministres des Finances français et belge ont annoncé conjointement leur décision d’intervenir pour sauver la banque Dexia, la plus grande entité financière en termes d’actifs en Belgique. Cette annonce a fait suite à des mois de rumeurs après les plus importantes pertes de l’histoire de la banque, plus de 4 milliards d’euros, entre les mois de mai et d’août 2011. C’est le deuxième sauvetage de Dexia après le sauvetage de 2008 au cours duquel la France et la Belgique avaient injecté chacun plus de 3 milliards d’euros pour racheter ses actions, ce à quoi il faut ajouter des garanties étatiques des crédits pour une valeur de 150 milliards d’euros (1)Voir, “France, Belgium Pledge Dexia Help Amid Breakup Talk”. (suite…)
Notes de bas de page
↑1 | Voir, “France, Belgium Pledge Dexia Help Amid Breakup Talk” |
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Cette triple crise (économique, financière et de la dette publique) alimente les discours des uns et des autres. De nouveau, une banque importante, DEXIA (banque des collectivités locales), est en situation de faillite (voir l’article de Daniel Munevar du CADTM dans ce même numéro). (suite…)
Les politiques font jouer aujourd’hui à la Grèce un rôle analogue à celui qu’endosse le SDF depuis la fin des années 80, époque à laquelle ce dernier entre avec fracas sur la scène médiatique. (suite…)
Aujourd’hui, l’offre de santé se réduit, les centres de proximité sont en difficulté, les restructurations coûteuses instaurent une inégalité des soins. (suite…)
Le front national de Le Pen est « farouchement opposé » à l’encadrement des loyers, jugeant cette « mesure dirigiste, presque communiste », osant même avouer le peu de cas qu’il fait des difficultés économiques et sociales des Français en annonçant que ses propositions en matière de logement sont encore « en cours de réflexion ». (suite…)
Lucette Larribère Hadj Ali vient de publier aux éditions du Tell, à Blida, près d’Alger, un ouvrage intitulé, Itinéraire d’une militante algérienne : 1945-1962. (suite…)
Sur le modèle des riches américains, habitués à ce genre d’opérations qui mêlent charité et communication, 16 grandes fortunes françaises ont lancé un appel à les taxer… un peu. (suite…)
Après Tunis, Le Caire, Benghazi, Damas et Madrid, c’est au tour des Israéliens de se révolter. Avides d’un changement de priorités sociales, économiques et politiques, les jeunes sont descendus dans la rue pour faire entendre leurs voix. (suite…)
Samedi 28 mai : J -1 avant le grand rassemblement Travail des commissions dès 17h à la Bastille, criée dans le métro, diffusion de tract au cours de la manifestation antiraciste. Le travail des commissions a lieu à la Bastille où ce jour-là se tient la manifestation pro Gbagbo. Confusion…
Dès son élection en 2010 dans un état longtemps dirigé par un Congrès « démocrate », Scott Walker, le gouverneur « républicain » du Wisconsin a lancé une attaque brutale contre les fonctionnaires de l'état : suppression du droit de grève, suppression des négociations syndicales sur les retraites et les primes suppression…
Le 1er novembre 1954, les Algériens se sont soulevés pour se libérer d’un colonialisme barbare condamné par l’Histoire. Notre peuple attendait de vivre dans un Etat démocratique et social, garantissant la liberté de conscience et les droits humains. (suite…)
Devant l’apathie de nos concitoyens, le découragement gagne parfois ceux qui maîtrisent relativement certains domaines essentiels et qui constatent et dénoncent les dégradations qui les affectent. Les évènements récents (scandale du Médiator, l’accident nucléaire au Japon) démontrent pourtant qu’il conviendrait d’accorder quelque attention aux manifestations des « lanceurs d’alerte » (c’est le terme à la mode pour qualifier ceux qui expriment leurs inquiétudes et cherchent à informer des dangers qui nous guettent). (suite…)
Ce texte est publié avec l’accord de l’auteur qui tient à signaler aux lecteurs qu’il a été produit pour le Conseil Scientifique d’Attac.
NDLR
Des élections professionnelles à la SNCF ont maintenu la CGT comme la première organisation et de loin de l’entreprise. (suite…)
Sous Chirac, la droite néolibérale organisait ses contre-réformes régressives sur l’essentiel en répondant positivement à quelques revendications de certains syndicats en contrepartie d’un accord de ces mêmes syndicats sur la contre-réforme régressive légèrement amendé. (suite…)
Nos concitoyens ressentent et, de plus en plus, expriment leur inquiétude pour leur protection sociale contre la maladie et, plus largement, pour leur santé.
Des associations d’usagers s’engagent dans une résistance à la politique de désagrégation de nos structures sociales.
Si une alternative politique veut être crédible, elle doit clairement se déterminer pour rétablir ce droit fondamental. (suite…)
On peut se demander ce qui justifie, toujours à l’approche de grandes échéances électorales, ce retour dans l’arène politique du débat sur l’immigration. On se trouve alors confronté à des campagnes visant à désigner les immigrés comme les responsables de nombre de problèmes rencontrés par notre pays.
Aucune donnée statistique ne prouve que le « niveau » des populations immigrées sur notre sol soit tel que la société française ne pourrait plus jouer son rôle d’intégration.
En 2003, 4 300 000 immigrés résidaient en France Métropolitaine soit environ 7,4 % de la population, 100 000 étaient entrés sur notre territoire grâce au dispositif du regroupement familial. Ce « niveau » est le même depuis 25 ans et représente l’un des plus bas d’Europe. (suite…)
La tentation et les pressions sont grandes de suivre les grands médias et le “monde politique” dans une interprétation religieuses des événements de Tunisie et d’Egypte. (suite…)
Lorsque Jacques Chirac supprima le service militaire, on vit s’opposer, comme souvent, les progressistes (que cette décision réjouissait) et les républicains (qui, au contraire, la déploraient). Les premiers considéraient le service militaire comme une obligation liberticide et abrutissante, les seconds, comme l’un des creusets où pouvaient encore se transmettre les « valeurs » républicaines. Il n’était pas interdit d’être plus pragmatique : on pouvait craindre la disparition du service militaire au seul motif que c’était un moyen d’apprendre à faire la guerre. (suite…)