ATTAC rompt avec son histoire
Réaction à l’article d’Attac : L’euro dans les mains du FMI : une rupture historique. (suite…)
Réaction à l’article d’Attac : L’euro dans les mains du FMI : une rupture historique. (suite…)
Au moment où Nicolas SARKOZY annonce une loi sur les retraites visant à remettre en cause le droit au départ à 60 ans, nous vous proposons de lui rappeler solennellement le constat fait par la Cour des Comptes dans son rapport annuel et que les médias ont soigneusement occulté : « Le coût total de la multiplication des niches fiscales représenterait 146 milliards d’euros par an ». La vérité doit l’emporter : pour » sauver nos retraites », au vu des analyses de la très officielle Cour des Comptes,on peut affirmer qu’il suffit de rétablir la justice fiscale .
Nous sommes déjà plus de huit cents à avoir signé, en quatre jours, la lettre ouverte au Président de la République pour exiger de « mettre fin au plus vite aux privilèges indécents que représentent ces niches fiscales ». Nous lui demandons instamment d’en tirer les conclusions qui s’imposent sur le plan législatif, pour garantir aux Français un niveau décent de pensions de retraite et de prestations sociales.
Nous vous invitons à faire signer massivement cette lettre ouverte : faites la parvenir à vos collègues de travail, à vos connaissances, à vos amis voire à votre syndicat et/ou à votre formation politique. Elle doit devenir l’affaire de tous ceux – citoyens, groupes, associations, organisations – qui voudront la faire leur, la populariser et la faire signer pour peser utilement dans le débat sur les retraites. (suite…)
Le gouvernement français s’apprête à engager une nouvelle réforme qui risque de porter un coup fatal au système de retraite par répartition en jurant une fois de plus que c’est pour le sauver. Le bilan des réformes menées depuis 1993 est déjà catastrophique car toutes les dispositions prises (calcul sur les 25 meilleures années, indexation sur les prix et non plus sur les salaires des actifs, allongement de la durée de cotisation sous peine de décote…) ont déjà fait baisser le niveau des pensions d’environ 20 %. Elles ont aggravé les inégalités déjà fortes entre les pensions des hommes et des femmes. Le Conseil d’orientation des retraites (COR) prévoit que le taux de remplacement moyen – niveau de la retraite par rapport au salaire, passerait de 72 % en 2007 à 59 % en 2050. Cette dégradation continuera donc de frapper les actuels retraités et touchera également les générations suivantes. (suite…)
Beurrer les lunettes des citoyens Lorsque l'on veut analyser la politique du gouvernement en matière de santé et de protection sociale, il est préférable d'ignorer les discours tant ils sont contradictoires avec les faits, bien que certains lapsus ou circonstances particulières permettent de distinguer la réalité. Pour n'en citer que…
Echec scolaire, chômage important, pauvreté accrue, la situation des ZUS ne s’améliore guère. Une analyse de Laurent Mucchielli, directeur de recherche au CNRS-Cesdip. (suite…)
Manifeste du collectif des cinéastes pour les "sans-papiers" Un travailleur sans papiers et un travailleur avec carte de séjour, c’est quoi la différence ? Pas visible à l’œil nu, pas visible même avec une caméra. Et pourtant, ils sont là. Ils travaillent, ils construisent nos immeubles, réparent nos rues, posent…
Intervention d’Anicet Le Pors, Palais de la Mutualité, 17 décembre 2009 (suite…)
Intervention, le 18 février à la tribune de l’Assemblée Nationale, pour dénoncer la réforme territoriale voulue par le gouvernement. (suite…)
Alors que l’ensemble de la protection sociale solidaire est sous l’emprise du processus de marchandisation et de privatisation lancé depuis une trentaine d’années par le Consensus de Washington et relayé par les politiques néolibérales nationales, voilà que Nicolas Sarkozy décide d’aborder les retraites après avoir fait reculer le principe de solidarité sur la santé et l’assurance-maladie aux profits des actionnaires des structures hospitalières privées, de l’UNOCAM1 et de l’industrie pharmaceutique.
Une pétition sur les dépassements d’honoraire a été lancée par l’UFAL : retrouvez l’ensemble des informations sur le site dédié. NDR (suite…)
Appel à signatures : pour signer cette pétition et rejoindre les 4.700 premiers signataires
Compte tenu du coût des soins, très peu d’entre nous pourraient se soigner si la Sécurité Sociale n’assurait pas un remboursement substantiel des frais médicaux. Sans une profonde remise en cause du système de rémunération des actes médicaux, la seule façon d’y parvenir consiste à encadrer les honoraires médicaux. (suite…)
Texte publié dans le n°159 de Combat Républicain.
François Fillon a adressé une lettre aux Maires pour tenter de justifier le projet gouvernemental de transformation du statut de la Poste. Pierre Carassus, Maire de Vaux-le-Pénil (Seine-et-Marne), lui répond.
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Il prétend vouloir rassembler les Français, mais lui-même a pour souci prioritaire de régler des comptes personnels avec l’un d’eux, et qui appartient à son propre camp ? Car si dans les discours des hommes politiques c’est toujours « La France », « La Patrie », l’intérêt général, le bien commun, dans la réalité il existe différents camps, à l’intérieur desquels il y a des clans, et l’on se bat pour son camp, on se bat pour son clan et en réalité on se bat chacun pour soi contre les autres. Quid de l’intérêt général ? (suite…)
La santé : un capital individuel et collectif Nous approchons d’une nouvelle année à l’orée de laquelle nous exprimerons peut être ce que l’on considère comme une banalité : « Bonne année, bonne santé ». Banalité ? A la réflexion, c’est bien le facteur le plus important d’une qualité de vie, tant sur le plan…
Cinq mois après la fin du conflit du printemps pour l’emploi et le service public, la Direction des groupes EDF et GDF/SUEZ, répondant à plusieurs demandes gouvernementales invitant à prendre des sanctions contre les salariés en lutte, s’est lancée dans une vaste opération nationale de répression et de sanctions disciplinaires allant jusqu’au licenciement de plusieurs salariés. Cette opération s’inscrit dans un contexte de criminalisation du mouvement social inacceptable dans une société démocratique. (suite…)
Depuis le 1er octobre, plus de 3800 sans-papiers ont pris position sur leur lieu de travail avec le soutien de syndicats, de partis politiques et d’associations. Les revendications traditionnelles de régularisation se mêlent à la dénonciation des patrons voyous contre la fabrique des travailleurs pauvres. (suite…)
Il y a vingt ans, à Marseille nous inaugurions un colloque : « Travail et Santé Mentale« , nous pointions déjà à l’époque les atteintes à la santé psychique dans un article : « Pression, répression, dépression » (1)Broda, J ; « Pression, Répression, Dépression », Perspectives psychiatriques, 1990, n°22 . Nous étions au début de la grande opération d’(auto)-extermination salariale, via le chômage, la (sur)charge de travail, la mobilisation psychique, la précarisation de tous les rapports sociaux, la régression des organisations de classe, et du parti communiste comme vecteur identitaire. (suite…)
Notes de bas de page
| ↑1 | Broda, J ; « Pression, Répression, Dépression », Perspectives psychiatriques, 1990, n°22 |
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Recherche (le) peuple désespérément, entretien avec les auteurs du livre (1)Propos recueillis auprès des auteurs du livre Gaël Brustier et Jean-Philippe Huelin par Bernard Teper (suite…)
Notes de bas de page
| ↑1 | Propos recueillis auprès des auteurs du livre Gaël Brustier et Jean-Philippe Huelin par Bernard Teper |
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Les employés de la plateforme de Lille n’en croyaient pas leurs yeux. Seraient–ils tombés dans un camp de travail obligatoire avec maltraitances ? Les élèves des lycées professionnels de l’académie de Créteil reçoivent plus d’égards puisqu’on les « intéresse », qu’on leur parle gentiment et que les instructions visent à former le citoyen. (suite…)
Une atteinte aux droits fondamentaux des personnes âgées est dans les tuyaux du gouvernement. Un projet de décret du ministère du Travail modifie les dotations accordées aux établissements publics et associatifs et prévoit de leur laisser une plus grande liberté pour fixer le tarif hébergement, une des trois composantes du prix de journée, avec les soins et la dépendance. Allons-nous vers un système à deux vitesses ? Cette révision tarifaire est imposée par la loi de financement de la Sécurité Sociale de 2009. Il s’agit en pratique de laisser la maison de retraite fixer elle-même son prix de journée pour les personnes qui ne bénéficient pas de l’aide sociale. (suite…)