Pas touche à la maternité des Lilas et à son centre IVG
Aujourd’hui, l’offre de santé se réduit, les centres de proximité sont en difficulté, les restructurations coûteuses instaurent une inégalité des soins. (suite…)
Aujourd’hui, l’offre de santé se réduit, les centres de proximité sont en difficulté, les restructurations coûteuses instaurent une inégalité des soins. (suite…)
Le front national de Le Pen est « farouchement opposé » à l’encadrement des loyers, jugeant cette « mesure dirigiste, presque communiste », osant même avouer le peu de cas qu’il fait des difficultés économiques et sociales des Français en annonçant que ses propositions en matière de logement sont encore « en cours de réflexion ». (suite…)
Après l’article paru dans le numéro 660 de votre journal ReSPUBLICA, une nouvelle accélération a eu lieu. Ce n’est plus seulement les pays du Sud de l’Europe qui sont touchés, mais les trois principales banques françaises (1)BNP, Société Générale et Crédit Agricole. Elles avouent posséder des créances sur la Grèce de respectivement de 5 milliards, 2,7 milliards et 600 millions d’euros. Mais combien sur le Portugal, l’Espagne et l’Italie ? Sans doute des dizaines de milliards au moins. (suite…)
Notes de bas de page
↑1 | BNP, Société Générale et Crédit Agricole |
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Nous sommes habitués aux mauvais coups que les politiques ordo-libérales ((Dans la famille de pensée néolibérale, la pensée dominante aujourd’hui est l’ordolibéralisme. Cette théorie née en Allemagne donne à l’État la responsabilité de créer le cadre légal et institutionnel de la concurrence « libre et non faussée ». Elle crée une division des…
À la lecture du texte suivant, n’avez-vous pas envie de placer le financement de la protection sociale par la cotisation sociale via des institutions salariales déconnectées de l’État ? (suite…)
La crise ouverte à l’été 2007 et qui a entraîné, suite à la faillite de Lehman Brothers le 15 septembre 2008, le krach bancaire et financier de l’automne 2008, suscite bien des commentaires et des propositions de solutions, de la part, tant des économistes que des partis politiques. (suite…)
Sur le modèle des riches américains, habitués à ce genre d’opérations qui mêlent charité et communication, 16 grandes fortunes françaises ont lancé un appel à les taxer… un peu. (suite…)
Alors que la crise est née aux Etats-Unis en 2007, l’impact sur l’Union européenne (UE) a été beaucoup plus violent que sur les institutions politiques et monétaires états-uniennes. En fait, la crise qui secoue la Zone euro n’est pas une surprise, elle est un avatar des deux principes qui régissent…
Une partie de la direction d’Attac a commis un texte attaquant la «démondialisation» et les «démondialisateurs», publié sur Mediapart. Ce qui pourrait n’être qu’affaire d’opinion et de sain débat prend une tournure déplaisante en raison des méthodes de ces auteurs. Attaquant tous azimuts, proférant de graves accusations, mais sans citer le…
Dans une tribune récemment publiée sur Mediapart (6 juin 2011), des membres du conseil scientifique d’Attac (Geneviève Azam, Jacques Cossart, Thomas Coutrot, Jean-Marie Harribey, Michel Husson, Pierre Khalfa, Dominique Plihon, Catherine Samary et Aurélie Trouvé) déclarent « s’inquiét(er) de la fortune rencontrée par la démondialisation ». Je crois avoir à leur endroit suffisamment d’estime et d’amitié pour leur dire mes désaccords – à plus forte raison après m’être rendu coupable d’avoir moi-même employé le mot « à problème » (1)« Et si on commençait la démondialisation financière ? », Le Monde diplomatique, mai 2010. … (suite…)
Notes de bas de page
↑1 | « Et si on commençait la démondialisation financière ? », Le Monde diplomatique, mai 2010. |
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Geneviève Azam, Jacques Cossart, Thomas Coutrot, Jean-Marie Harribey, Michel Husson, Pierre Khalfa, Dominique Plihon, Catherine Samary et Aurélie Trouvé, membres du Conseil scientifique d’Attac, s’inquiètent de la fortune rencontrée par la «démondialisation», qui induirait la suspension des logiques de coopération nécessaires au progrès des droits sociaux sans résoudre aucune des crises actuelles. (suite…)
L’économiste français, François Chesnais, traite dans son ouvrage, les Dettes illégitimes (1)François Chesnais : Les Dettes illégitimes, quand les banques font main basse sur les politiques publiques, éditions Raisons d’agir, Paris, 2011 : quand les banques font main basse sur les politiques publiques, du thème des dettes publiques des pays européens de la zone euro, et de la nécessité de leur annulation. Et pour cause ! Ces dettes ont souvent été contractées à des fins ou dans des conditions fort douteuses. Elles ont pour cette raison acquis les surnoms peu glorieux de « dettes odieuses » ou de « dettes illégitimes ». Les pays du Sud sont eux aussi confrontés, depuis les années 1980 et 1990, à ce type de dettes. (suite…)
Notes de bas de page
↑1 | François Chesnais : Les Dettes illégitimes, quand les banques font main basse sur les politiques publiques, éditions Raisons d’agir, Paris, 2011 |
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Jean-Luc Mélenchon, investi candidat du Front de gauche, estime qu’en prenant une décision exceptionnelle, le PCF est « fidèle aux seuls intérêts du peuple ». (suite…)
Samedi 28 mai : J -1 avant le grand rassemblement Travail des commissions dès 17h à la Bastille, criée dans le métro, diffusion de tract au cours de la manifestation antiraciste. Le travail des commissions a lieu à la Bastille où ce jour-là se tient la manifestation pro Gbagbo. Confusion…
« La crise c’est quand le vieux se meurt et que le jeune hésite à naître »,
Antonio Gramsci
Comme chaque année au moins de juin, nous reprenons la plume pour tenter d’analyser une crise unique dans l’histoire du capitalisme. Une crise qui poursuit son évolution inéluctable en direction de la fin de l’ère du monopolisme financier et bancaire. La banque moderne, née en Italie au tournant des années 1500, est devenue le cœur du système. Rien ne lui échappe et les diverses autonomies économiques ou politiques ont progressivement disparu. Point d’orgue de ce processus : la globalisation achevée après la fin du bloc de l’est en 1989. Au sein de notre courant politique, depuis 1997, nous caractérisons cette période par le concept de « turbo capitalisme ». (suite…)
La campagne des présidentielles pour le Front de Gauche va être dure, entendons qu’on ne lui fera aucun cadeau et que tous les coups seront permis. (suite…)
Voilà la question que ne se pose pas les grands médias, fascinés qu’ils sont par les esthétiques royales, cléricales, extrême-droitières et par les grands destins individuels censés diriger le monde. En fait, toute leur prose, toutes leurs images, sont portées par cette fascination esthétique ou par leur tentative d’expliquer l’évolution du monde uniquement portée par des destins individuels. A la question posée dans le titre de cette chronique, ils répondent tous en cœur : « le candidat, bien sûr ! » (suite…)
Avant de penser ses alternatives, il ne sera pas inutile de s’accorder sur la définition du capitalisme puis de s’interroger sur la nécessité ou pas d’y trouver un successeur. (suite…)