Itinéraire d’une militante algérienne : 1945-1962
Lucette Larribère Hadj Ali vient de publier aux éditions du Tell, à Blida, près d’Alger, un ouvrage intitulé, Itinéraire d’une militante algérienne : 1945-1962. (suite…)
Lucette Larribère Hadj Ali vient de publier aux éditions du Tell, à Blida, près d’Alger, un ouvrage intitulé, Itinéraire d’une militante algérienne : 1945-1962. (suite…)
Chérifa Kheddar, lauréate du prix 2008 des droits humains de l’International service, est la porte-parole de l’Observatoire des violences faites aux femmes (Ovif). Dans l’entretien qui suit, elle s’exprime sur le phénomène des violences à l’égard des femmes en Algérie et les raisons de la création de l’Ovit. (suite…)
Asma Guenifi est algérienne vivant en France, et mère de trois enfants, dont l’un porte le prénom de son frère Hichem, en hommage à son oncle, qu’il n’a pas eu la chance de connaître. (suite…)
Nazim Mekbel est le fils cadet du journaliste-chroniqueur, Saïd Mekbel, assassiné en décembre 1994. Il vit en France depuis cette date. Il a durant plusieurs années, milité au sein de différentes associations socio- culturelles ayant une relation avec l’Algérie. Il est aussi membre du Festival international de la Bande dessinée d’Alger (FIBDA). Il a créée, il y a quelques mois, l’association Ajouad, Algérie, Mémoires, pour honorer la mémoire des victimes du terrorisme islamiste en Algérie, et dont il est le président. (suite…)
Asma Guenifi vient de publier un ouvrage intitulé, Je ne pardonne pas aux assassins de mon frère, aux éditions Riveneuve, à Paris. (suite…)
Boualem Makouf, ancien membre des Combattants de la Libération, la branche armée du Parti communiste algérien, puis des réseaux du Front de libération nationale, suite aux accords en ce sens entre le PCA et le FLN des printemps –été 1956, vient de commettre aux éditions Bouchène, un livre, intitulé, Trains de nuit : une captivité à l’ombre des Aurès, et préfacé par l’historien, Mohammed Harbi.
Il ne s’agit pas à proprement parler d’une autobiographie, mais plutôt d’un témoignage sur les affres, subies pendant la guerre d’indépendance de l’Algérie, par les combattants algériens, dans les geôles coloniales françaises, en particulier dans la tristement célèbre prison de Lambèse, située au cœur des Aurès, dans l’est algérien. L’auteur y a été incarcéré, de 1957 à 1961, avant d’être transféré en même temps que d’autres de ses frères de luttes, vers des prisons en métropole. Auparavant, l’intéressé avait passé une année environ (1956-1957) dans la prison de Barberousse, à Alger, alors autre haut des crimes d’État français en Algérie. (suite…)
Abderrahmane Taleb, l’enfant studieux de Bir Djebbah, dans la Casbah d’Alger, le fils d’un ouvrier pâtissier, est mort sur l’échafaud, le 24 avril 1958, à l’aube, à la prison de Serkadji, dans la Haute Casbah. Il avait 28 ans. (suite…)
Le 1er novembre 1954, les Algériens se sont soulevés pour se libérer d’un colonialisme barbare condamné par l’Histoire. Notre peuple attendait de vivre dans un Etat démocratique et social, garantissant la liberté de conscience et les droits humains. (suite…)
Le 5 avril 1956, La Dépêche Quotidienne, organe de la grosse colonisation, criant à la trahison, ouvre sa «Une» sur une information sensationnelle : « Dans l’après-midi d’hier, mystérieuse disparition d’un important chargement d’armes dans la forêt de Baïnem ». (suite…)
Salma Boukir a commencé sa vie professionnelle, comme secrétaire dans un collège, à Ighram, une petite commune rurale, près d’Akbou, dans la Vallée de la Soummam, en Algérie. Elle a mené parallèlement une riche activité citoyenne. C’est ainsi qu’elle participa activement, durant l’année de 1994, en Kabylie, à la campagne…
Madame Chérifa Bouatta est en Algérie, professeure de psychologie à l’université d’Alger, membre d’une association de psychologue, la SARP, et directrice de la revue, Psychologie. Elle est aussi membre, depuis les années 1980, de l’association, Défense et promotion des droits des femmes. Cette association revendique l’égalité totale des droits entre les hommes et les femmes. Mais pas seulement, parce que l’expérience des autres pays leur a montré l’insuffisance de l’égalité juridique. C’est pour cette raison qu’elle estime qu’il leur faut être vigilantes, car les pouvoirs politiques en place, peuvent facilement brader les droits des femmes, lesquelles sont partie prenante de tous les mouvements sociaux et politiques, qui traversent leurs pays, en l’occurrence l’Algérie. Enfin, Madame Bouatta est également membre du récent Observatoire national contre les violences faites aux femmes, en Algérie. (suite…)
Voilà déjà plus d’un mois qu’une grande effervescence s’est emparée des citoyens en Algérie et dans l’immigration à la faveur des grands bouleversements que connaît l’Afrique du nord et le Moyen-Orient. (suite…)
Tout au long du mois de mars, de nombreuses manifestations sont organisées pour célébrer le 8 mars, journée internationale de lutte pour les droits des femmes. Ce 3 mars 2011, s’est tenue au Palais du Luxembourg, une conférence de presse de Shoukria HAIDAR, Présidente de NEGAR, association en soutien aux femmes Afghanes, sur le thème « Un an après la Conférence Internationale de Londres sur l’Afghanistan, où en sont les droits des femmes afghanes dans le contexte de mise en œuvre du « processus de réconciliation » avec les taliban ? (suite…)
Pour comprendre l’évolution de la situation, il faudrait analyser les évènements en tenant compte de la stratégie du pouvoir à la veille des échéances présidentielles et du contexte du monde arabe marqué par une irruption fulgurante des peuples sur la scène politique. Mais déjà remontons à la genèse de cette Coordination. (suite…)
Comme on s’y attendait, le pouvoir algérien, sourd et aveugle, mais aux abois, a répondu par la répression aux revendications d’une partie de l’opposition, organisée au sein d’une Coordination nationale pour le changement et la démocratie (CNCD). Il s’agit du Rassemblement pour la Culture et la démocratie (social-démocrate), du Parti pour la laïcité et la démocratie (issu de la mouvance communiste du Parti de l’avant-garde socialiste), du Mouvement démocratique et social (issu de la même mouvance communiste) , du Parti socialiste des travailleurs (trotskiste), du Comité de citoyens pour la défense de la république (courant républicain, principalement issu ou en lien avec une partie du pouvoir), du PLG, de plusieurs syndicats autonomes, majoritairement ceux de l’enseignement, d’associations féministes, d’anciens ministres, de citoyens… (suite…)
Plusieurs centaines d’Algériennes et d’Algériens ont répondu à l’appel de la Coordination Nationale pour le Changement et la Démocratie (CNCD) – Coordination France – ce samedi 19 février à 14 heures, place de la République, à Paris. (suite…)
Les féministes et les démocrates algériens auront une pensée particulière, en ce 15 février 2011, envers leur camarade, femme de gauche et féministe, Nabila DJAHNINE, assassinée, le 15 février 1995, par les tueurs du Front islamique du salut. Elle avait trente ans. (suite…)
Coordination Nationale pour le Changement et la Démocratie en Algérie – Coordination France Le 12 février 2011 à 11H, les Algériennes et les Algériens manifesteront à Alger à l’appel de la Coordination Nationale pour le Changement et la Démocratie en Algérie (CNCD), pour exiger : Le changement et la démocratie…
Le Parti pour la Laïcité et la Démocratie (PLD) salue l’ensemble des citoyens qui ont répondu à l’appel à la marche pacifique du samedi 22 janvier 2011, initiée par le RCD et soutenue par notre parti. (suite…)
Tout est encore possible ! (suite…)