Le socialisme républicain de Pierre Leroux : la réconciliation de la liberté avec l’égalité
Il n’est pas rare d’avoir de houleux débats avec des partisans du libéralisme sur la notion de liberté et la façon de l’articuler avec l’égalité. (suite…)
Il n’est pas rare d’avoir de houleux débats avec des partisans du libéralisme sur la notion de liberté et la façon de l’articuler avec l’égalité. (suite…)
En ces temps de tristesse comptable, à l’heure où il va nous falloir expier nos folies dépensières, une lueur d’espoir apparaît. Notre Bonne Mère l’APHP a décidé « d’introduire dans les hôpitaux des prises en charge et des traitements à la fois traditionnels et innovants ». Louons, avec notre directrice générale, « l’ouverture d’esprit des équipes médicales et paramédicales ». (suite…)
Ou comment la société du spectacle hiérarchise l’information et le droit à la parole médiatique. (suite…)
Pascale Le Néouannic (1)Pascale Le Néouannic, Conseillère régionale, Présidente du Groupe Front de Gauche & Alternatifs à la Région Ile-de-France ; conseillère municipale d’opposition à Antony (92), Secrétaire nationale du Parti de Gauche en charge des Libertés, de la Laïcité et des Institutions. vient de commettre un livre (2)Petit manuel de laïcité à usage citoyen (135 pages, petit format) écrit par Pascale Le Néouannic édité dans la collection Politique à gauche de Bruno Leprince 6 euros, livre préfacé par Henri Pena-Ruiz que nous devons populariser, car c’est un outil d’éducation populaire tournée vers l’action de première importance. Avant de parler de son livre, replaçons-le dans le contexte diachronique du combat laïque. (suite…)
Notes de bas de page
↑1 | Pascale Le Néouannic, Conseillère régionale, Présidente du Groupe Front de Gauche & Alternatifs à la Région Ile-de-France ; conseillère municipale d’opposition à Antony (92), Secrétaire nationale du Parti de Gauche en charge des Libertés, de la Laïcité et des Institutions. |
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↑2 | Petit manuel de laïcité à usage citoyen (135 pages, petit format) écrit par Pascale Le Néouannic édité dans la collection Politique à gauche de Bruno Leprince 6 euros, livre préfacé par Henri Pena-Ruiz |
Lucette Larribère Hadj Ali vient de publier aux éditions du Tell, à Blida, près d’Alger, un ouvrage intitulé, Itinéraire d’une militante algérienne : 1945-1962. (suite…)
À la faveur de la rentrée scolaire, le feu qui couvait depuis deux mois sur l’affaire de l’intégration de la théorie du genre dans les manuels scolaires se ravive. Ce que compte l’Assemblée nationale comme députés de la droite catholique vient de signer une pétition pour le retrait des manuels scolaires en question. Ces 80 députés viennent compléter les 37.000 signatures recueillies par leur courroie de transmission dans l’institution familiale : Familles de France. (suite…)
Hélène Cuenat, dans ses Mémoires, la Porte verte (1)éditions Bouchène, Paris, 2001., cite Didar Fawzi Rossano, parmi les six résistantes pour l’indépendance de l’Algérie, qui s’étaient évadées, en février 1961, de la vieille prison pour femmes de la Roquette (aujourd’hui rasée, et située alors entre le cimetière Père-Lachaise et la Mairie du 11e à Paris.
D’après l’auteur de cet ouvrage, le nom de jeune fille de la résistante égyptienne est Diane Rossano, son prénom est Didar, Fawzi c’est celui de son premier mari, colonel parmi les officiers libres égyptiens, avec Nasser, puis diplomate.
Ces militantes y étaient emprisonnées, ainsi que plusieurs autres résistantes algériennes et françaises, parce qu’elles appartenaient soit au Front de libération nationale algérien, comme les deux Algériennes de naissance, Zina Harraïgue et Fatima, soit au réseau Jeanson, comme les trois militantes françaises, condamnées à 10 ans de prison chacune : Micheline Pouteau, Jacqueline Carré et Hélène Cuenat, militant du PCF, soit au Réseau de Henri Curiel (communiste juif égyptien), comme Didar Fawzi Rossano. (NDLR). (suite…)
Notes de bas de page
↑1 | éditions Bouchène, Paris, 2001. |
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La campagne des présidentielles pour le Front de Gauche va être dure, entendons qu’on ne lui fera aucun cadeau et que tous les coups seront permis. (suite…)
Boualem Makouf, ancien membre des Combattants de la Libération, la branche armée du Parti communiste algérien, puis des réseaux du Front de libération nationale, suite aux accords en ce sens entre le PCA et le FLN des printemps –été 1956, vient de commettre aux éditions Bouchène, un livre, intitulé, Trains de nuit : une captivité à l’ombre des Aurès, et préfacé par l’historien, Mohammed Harbi.
Il ne s’agit pas à proprement parler d’une autobiographie, mais plutôt d’un témoignage sur les affres, subies pendant la guerre d’indépendance de l’Algérie, par les combattants algériens, dans les geôles coloniales françaises, en particulier dans la tristement célèbre prison de Lambèse, située au cœur des Aurès, dans l’est algérien. L’auteur y a été incarcéré, de 1957 à 1961, avant d’être transféré en même temps que d’autres de ses frères de luttes, vers des prisons en métropole. Auparavant, l’intéressé avait passé une année environ (1956-1957) dans la prison de Barberousse, à Alger, alors autre haut des crimes d’État français en Algérie. (suite…)
Communiqué de presse du CCOJB et du CCLJ : L’amnistie, c’est l’amnésie Le Comité de Coordination des Organisations Juives de Belgique (CCOJB) et le Centre Communautaire Laïc Juif (CCLJ) condamnent vigoureusement les déclarations inacceptables du ministre de la Justice Stefaan De Clerck sur la nécessité d’ouvrir un débat sur l’amnistie…
François Duprat, une histoire de l’extrême droite
Un webdocumentaire réalisé par Joseph Beauregard
Ecrit par Joseph Beauregard et Nicolas Lebourg
ResPUBLICA : Madame Elena Pasca, vous êtes philosophe et vice-présidente de la Fondation Sciences Citoyennes et animatrice du blogue Pharmacritique. (suite…)
Joseph Beauregard et Nicolas Lebourg ont déterré les racines du Front national. Dans le Web-documentaire, François Duprat, une histoire de l’extrême droite, ils explorent le mythe fondateur de l’extrême droite « moderne », qu’il a théorisé, avec ses déclinaisons actuelles, y compris dans la droite dite « républicaine ». (suite…)
Abderrahmane Taleb, l’enfant studieux de Bir Djebbah, dans la Casbah d’Alger, le fils d’un ouvrier pâtissier, est mort sur l’échafaud, le 24 avril 1958, à l’aube, à la prison de Serkadji, dans la Haute Casbah. Il avait 28 ans. (suite…)
Le 5 avril 1956, La Dépêche Quotidienne, organe de la grosse colonisation, criant à la trahison, ouvre sa «Une» sur une information sensationnelle : « Dans l’après-midi d’hier, mystérieuse disparition d’un important chargement d’armes dans la forêt de Baïnem ». (suite…)
(Communiqué des beaux messieurs de l’oligarchie : financiers et médiacrates) Selon un sondage savoureux (20 minutes, 31 mars), Besancenot ferait deux fois plus que Jean-Luc Mélenchon qui apparaît comme un diviseur, et il se confirme qu'il y aurait un « sauveur » outre-Atlantique contre dame Le Pen (qu'on ne cesse…
Elle a la gouaille et croit en son avenir, les sondages sont pour elle. Marine Le Pen ne se satisfait pas de l’imprécation hargneuse, de l’allusion méprisante et de la plaisanterie blessante qui étaient la marque de fabrique de son père. Elle sait que ces saillies à moteur antisémite l’ont cantonné dans un rôle de trublion provocateur dont la capacité de nuisance ne recouvrait aucune perspective politique réelle. (suite…)
Régimes autoritaires aux abois et désinformateurs professionnels plaquent sur les récents bouleversements du monde arabe une grille de lecture largement éculée… On ne compte plus les théories du complot développées au cours des dernières semaines à propos des soulèvements qui ont embrasé le monde arabe. Avant de s'effondrer, le régime…
Serge Moati, journaliste et animateur de télévision, et français d’origine juive tunisienne, relate dans, Villa Jasmin (1)In Serge Moati, Villa Jasmin, roman, édition Fayard, Paris, 2003. Ce roman fut adapté au cinéma, Villa Jasmin, par son compatriote, le réalisateur, Férid Boghedir., son autobiographie romancée, un événement singulier qui eut lieu, au cours d’une conférence organisée, vers 1930, à Tunis, par l’Essor, une association culturelle de gauche, à laquelle son père, socialiste, libre penseur et laïque avait été convié. (suite…)
Notes de bas de page
↑1 | In Serge Moati, Villa Jasmin, roman, édition Fayard, Paris, 2003. Ce roman fut adapté au cinéma, Villa Jasmin, par son compatriote, le réalisateur, Férid Boghedir. |
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