Un pas de côté est fait pour le Collectif POP (Pas d’Ordre des Psychologues). Ce collectif de psychologues et d’enseignants chercheurs en psychologie interroge l’instrumentalisation et la paramédicalisation des psychologues, le démantèlement des services publics où ils exercent, l’ingérence des propositions de loi, les effets d’annonce des rapports, préconisations et multiples dispositifs. Autant de mesures “poudre aux yeux” jetées par un gouvernement et des pouvoirs publics qui clivent, attaquent le travail de lien au cœur du métier des psychologues. Le collectif alerte. Ce pas de côté prend ici la forme d’un dialogue, à l’image de l’esprit de débat, de circulation de la parole et de questionnement si cher à cette profession.
Pouvez-vous vous décrire en quelques mots?
Nous nous sommes constitués en avril 2021 autour d’une lettre ouverte adressée aux Présidents des chambres parlementaires au lendemain de la publication d’une proposition de loi pour la création d’un ordre des psychologues et notre inscription en tant que “profession de santé” dans le Code de la Santé Publique. Coup de trop après plusieurs rapports et mesures gouvernementales méconnaissant notre profession et faisant fi de notre déontologie. La lettre a fédéré en quelques jours des psychologues des quatre coins de la France exerçant dans les champs de la santé, du social, de l’éducation, de la justice, en institution, en libéral, à l’université, orientés dans leur travail par des référentiels théoriques et des pratiques variées. A ce jour, nous sommes presque trois cents cosignataires et plus de dix mille pétitionnaires[1].
En quoi cette proposition de loi [2] vous semble délétère pour la profession ?
Avec un ordre, une perte d’autonomie pour la profession serait à craindre. Un ordre est toujours rattaché à un ministère. Pour les psychologues, intervenant en nombre dans le champ de la santé, il s’agirait d’une mise sous la tutelle du Ministère de la Santé et du médical avec l’inscription de notre profession dans le CSP[3]. Le système en France est ainsi historiquement organisé.
La création d’un nouveau livre professionnel dans le CSP serait une paramédicalisation qui cache son nom au vu des préconisations hors sol et des récentes mesures les concernant. De plus, notre profession serait réduite au seul champ de la santé, ce qui nierait toutes les autres branches indispensables à l’étude de la complexité humaine. Il s’agirait d’une négation de notre appartenance aux Sciences Humaines et Sociales, à la croisée des disciplines telles que l’anthropologie, la sociologie, la médecine, la neurobiologie, la philosophie.
Les enjeux de pouvoir à l’intérieur de notre profession sont aussi à interroger : un ordre juge ses pairs et établit une hiérarchie. Or la profession des psychologues en France est majoritairement attachée à un fonctionnement horizontal. Les Collèges en milieu hospitalier en sont une illustration. Les psychologues ne s’évaluent pas ni ne se jugent. La question du pouvoir et du regard sur l’autre est une problématique que nous connaissons bien cliniquement. Éthiquement, nous nous devons de ne pas tomber dans ces pièges. Il serait préférable de laisser cette difficile tâche aux magistrats. Mais les psychologues ne sont pas sans appui : lors de difficultés déontologiques, ils peuvent solliciter l’avis éclairé de la Commission Nationale Consultative de Déontologie des Psychologues qui existe depuis 1997[4].
Nous ne pouvons faire par ailleurs l’économie d’interroger les logiques en jeu dans la conception de l’humain portée par nos sociétés libérales et le scientisme actuel utilisant ces logiques comptables très délétères au monde de la santé. Elles sont sous-tendues dans le préambule de cette PPL[5]. Notre profession défend une autonomie de pensée et une position en marge, loin des postures savantes ou gestionnaires parasitant l’accueil de la singularité.
Pourquoi êtes-vous en colère?
Au-delà de la question d’un ordre et notre inscription dans le CSP, c’est l’ingérence, le non-respect du processus démocratique à l’œuvre au sein de la profession et l’attaque sur nos qualifications qui a provoqué cette colère. Une vingtaine de nos organisations rassemblées sous le nom de CERéDéPSY[6] s’est prononcée par deux fois déjà en faveur d’une structuration non ordinale. Ce choix est nié, leur travail méprisé. Nos diplômes comme nos formations sont remis en cause. Les commissions de sélection à l’entrée des dispositifs de conventionnement illustrent bien l’attaque de nos qualifications.
Plus encore, les principes de notre Code de déontologie – autonomie dans le choix de nos outils et de nos approches, accès direct pour le public – sont bafoués.
On retrouve ce même mépris pour les principes démocratiques dans la façon dont la généralisation du remboursement des consultations de psychologue a été imposée. Avant même que le Projet de Loi de Financement de la Sécurité Sociale 2022 soit présenté et débattu devant les parlementaires, le dispositif a été présenté comme acquis sur le site du Ministère des Solidarités et de la Santé et dans les médias, piétinant le travail parlementaire[7] et semant la confusion du côté des médecins, du public, des plateformes de prise de rendez-vous. Autant d’alertes qui nous interpellent fortement à côté de la précarisation de la profession et du processus de déliaison à l’œuvre dans tous ces dispositifs qui morcellent et éclatent les suivis.
Les psychologues sont au service de la dimension psychique des personnes qu’ils rencontrent et non des pouvoirs publics. Or le gouvernement actuel, au nom d’une “solidarité citoyenne”[8], nous impose une mise sous la tutelle de ces pouvoirs publics et une exécution des directives des ARS avec contrôle médical.
Il joue sur les différences nécessaires à la vitalité de la profession. Il tente de les instrumentaliser, de cliver en cherchant à opposer: les psychologues institutionnels des libéraux, les psychologues cliniciens de ceux des autres branches, les psychologues des différentes orientations en imposant certains référentiels, enfin les psychologues aux médecins en introduisant dans ce partenariat des enjeux de pouvoirs alors qu’ils travaillent ensemble depuis des décennies de façon fructueuse[9]. Jouer sur les différences pour en faire des divisions est une position parfaitement assumée et même énoncée noir sur blanc[10]. Ces attaques ont eu le mérite de faire émerger une mobilisation inédite de l’ensemble de la profession.
Le discours du gouvernement est plutôt séduisant à l’égard des psychologues : comment résister à l’appel des sirènes ?
En respectant le Code de déontologie[11] et en refusant une logique économique.
L’exécutif nous entraîne dans un système qui, en offrant l’illusion d’une sécurité financière[12], pour les psychologues qui rentreraient dans des dispositifs, participe activement au démantèlement des services publics dévolus à tous et déjà aux plus vulnérables. Le remboursement de quelques consultations auprès d’un psychologue en libéral se fait au prix d’un coût très lourd pour la société en termes de santé psychique.
En clôture des récentes Assises de la santé mentale, le Président a ouvertement déclaré que les psychologues en difficulté dans leur recherche d’emploi trouveront avec ce dispositif un tremplin à leur insertion. Dans le même temps, il annonce que cela permettrait aux personnes les plus démunies de pouvoir consulter gratuitement. Dans son allocution, il oublie de préciser qu’il existe déjà un accès libre et gratuit dans les services publics et des associations.
Or depuis de nombreuses années les conditions d’exercice dans ces structures se dégradent, les postes diminuent et la demande augmente. Les services médico-sociaux sont eux aussi détricotés. Sous couvert de “désinstitutionnalisation” et de logiques inclusives, les pratiques de soins contenantes, élaborées en équipe pluridisciplinaire, sont progressivement détruites pour faire place à des plateformes d’évaluation et d’orientation qui déshumanisent les prises en charge. Or l’institution a une fonction thérapeutique qu’aucune plateforme ou semblant d’institution tels les regroupements de professionnels ne pourront offrir. Même bien coordonné, un parcours de soins en libéral ne remplacera pas une institution.
Il est éthiquement inadmissible de faire croire à des psychologues, souvent jeunes diplômés et peu au fait des enjeux d’un exercice en libéral, à une sécurité de salaire qui les maintiendra dans la précarité, tout en instrumentalisant la prise en charge des plus démunis qui nécessite le plus souvent le cadre institutionnel.
Les psychologues sont disposés à élaborer des pistes pour améliorer la prise en charge de la souffrance psychique, dans sa diversité et sa complexité. Ils inventent déjà des passerelles entre les institutions et la pratique libérale, Il devient urgent de leur donner la parole. S’occuper de l’humain, c’est aussi et surtout prendre en compte sa temporalité. Or les politiques ont tendance à prendre des décisions rapides qui relèvent plus de la communication que de la prise en compte des réalités de terrain.
Pourquoi les psychologues s’opposent aux dispositifs de “remboursement” proposés par l’Etat ? Quelles conséquences pour les psychologues et les personnes accueillies ?
On pourrait penser que la prise en charge de consultations par la Caisse Nationale de l’Assurance Maladie (CNAM) pour une catégorie d’assurés sociaux, sur des critères de santé publique, relève avant tout de décisions politiques et ne nous concerne pas directement. Mais ce type de dispositif nous inscrit dans la branche maladie de la Sécurité Sociale où le médecin est un pivot comptable. Les psychologues ne sont pas des professionnels de santé et ils ne fonctionnent pas à l’acte. Il ne serait pas sans effet qu’ils le deviennent par ces dispositifs. Les personnes en souffrance ne sont pas des consommateurs, pas plus que le psychologue n’est un produit consommable. Dans une société où priment économie et production, les processus de déshumanisation à l’œuvre, qui touchent aujourd’hui ouvertement le champ du soin psychique, représentent un réel danger que les psychologues se doivent de dénoncer. On ne peut que constater la casse qu’a généré la tarification à l’activité au niveau de l’hôpital. C’est à ce titre que les psychologues doivent pouvoir interroger le conventionnement avec la CNAM.
Surtout, en signant le conventionnement actuel imposé par l’exécutif, ils contreviendraient à plusieurs principes de leur déontologie. D’une part, ils ne pourront plus garantir le libre accès des personnes au psychologue de leur choix et consentiront à participer au tri des souffrances psychiques, selon des critères qui ne correspondent en rien à la réalité clinique. Le psychologue ne reçoit pas des « troubles anxio-dépressifs légers ou modérés », dénomination qui ne correspond à aucun référentiel et n’existe pas en psychologie. Ils accueillent toute personne qui en fait la demande, dans la limite de leur champ de compétences, qu’ils sont les seuls à pouvoir déterminer. D’autre part, ils ne seront plus garants de la confidentialité des consultations puisqu’un compte-rendu au médecin, en général possible sans être systématique, sera exigé. Enfin, ils ne seront plus libres de déterminer leurs honoraires[13]. Or cet aspect fait partie intégrante du cadre que chaque psychologue se doit d’élaborer avec soin, avec tact et mesure, en prenant en compte différents éléments de sa pratique, toujours pour le mettre au service de la personne accueillie. Il est impensable de laisser un tiers déterminer un montant de consultation qui vaudrait pour tous les professionnels. Dans le dispositif proposé par la CNAM, le tarif est fixé par décret, sans ajustement possible par le psychologue, qui n’est plus payé par la personne qu’il reçoit mais par la CPAM. Qu’un plafond de remboursement aux assurés soit établi, pourquoi pas, mais certainement pas les honoraires des professionnels.
C’est pourquoi les psychologues, massivement, appellent au boycott de toutes ces mesures et alertent leurs collègues qui, en se conventionnant ainsi, se retrouveraient en porte-à-faux sur le plan déontologique.
Pensez-vous être compris du grand public ?
Le soin psychique est présenté au “grand public” comme un acte technique, à l’image des soins médicaux. Dans le domaine médical, est ordonné un traitement qui va aider le corps à retrouver l’état d’avant la maladie ou pallier le dysfonctionnement, en détruisant la cause, en stimulant le système immunitaire, en compensant ou en rééduquant. L’orientation actuelle des politiques de santé pourrait nous faire croire qu’on soigne une souffrance psychique comme on guérit d’une infection, en prescrivant des comportements comme on prescrit un médicament. Il devient alors simple de vendre des plateformes de diagnostics sur le modèle des plateformes techniques spécialistes de la réparation des voitures (les freins, les pneus…) et de proposer ensuite un protocole spécifique de réparation de dysfonctionnements, uniquement de parties neurobiologiques. Or l’angoisse n’est pas une maladie ni un dysfonctionnement de l’organisme, c’est un élément constitutif de notre humanité. On ne la guérit pas, on ne peut s’en débarrasser, on ne peut que composer avec elle, au mieux l’atténuer. Le travail psychothérapeutique aide à “faire avec”. Ce processus implique un engagement de la personne qui vient consulter, quelle que soit l’approche ou la technique utilisée. Les traitements médicamenteux peuvent éventuellement gommer les symptômes mais ne traitent pas fondamentalement l’angoisse. Si on les arrête sans avoir exploré ce qui cause la souffrance, les symptômes surgissent à nouveau. Nous sommes formés à réfléchir sur comment l’être humain s’en sort dans la culture, dans la société, comment il se construit. Nous ne sommes pas dans le savoir objectif scientifique stricto sensu. Nous recourons parfois à la métaphore, l’allégorie, la mythologie, les représentations, les croyances, le récit. Nous sommes dans ce champ là et non dans le médical.
Il n’est pas aisé pour le “grand public” de se faire une idée de la pratique des psychologues car il s’agit d’une expérience intime et singulière, propre à chacun. Elle ne peut se décrire de façon générale car le déroulement d’un cheminement psychothérapeutique n’est pas prédictible à l’avance ni standardisable, ce qui rend délicate la façon dont nous pouvons la présenter. Peut-être avons-nous à interroger notre manière d’expliquer notre travail ?
Et du gouvernement ?
Le psychologue vise l’autonomie psychique des personnes qu’il reçoit et non la normalisation de leurs comportements ou de leurs pensées. Cela implique une pratique qui s’ajuste au cas par cas là où le gouvernement ne parle que d’homogénéisation et standardisation des actes, dans tous les domaines, satisfaisant ainsi une logique comptable.
Le gouvernement veut prescrire LE psychologue pour TOUS (le même psychologue pour tout le monde) alors que nous sommes DES psychologues pour CHAQUE UN (une diversité de praticiens pour que chaque personne puisse choisir un professionnel qui lui convient). Il parle “acte” quand le psychologue parle “rencontre”. Le malentendu est immense !
Les membres du gouvernement ne manifestent pas une véritable volonté de nous comprendre. Ils semblent pris dans une logique gestionnaire et technocratique. Dans un monde où les informations circulent de plus en plus vite, avec des réseaux toujours plus nombreux et pas toujours fiables, l’exécutif paraît plus à l’affût de sa communication et de sa gestion des risques vis-à-vis du grand public que de l’efficacité des mesures proposées.
Que souhaiteriez-vous dire aux psychologues tentés par l’inscription dans le CSP, les dispositifs ?
Nous n’avons pas tous l’expérience des effets de toutes ces politiques : ségrégation des personnes en souffrance, non-respect de la liberté du patient, morcellement du soin, normalisation des conduites des personnes, perte du sens de l’accueil, précarisation des professionnels, démantèlement des services, report sur les professionnels libéraux, gestion comptable de la santé, de l’humain.
C’est dans ce contexte qu’émerge la volonté de mettre la profession sous contrôle[14], à l’exact opposé de ses valeurs humanistes, issues du champ des sciences humaines et sociales, nées de l’après-guerre.
Le psychologue est là pour interroger ce qu’il se passe. Se demander au service de qui il intervient ? Quelles vont être les implications de son adhésion à tel dispositif ou telle structuration, pour la profession, pour le champ où il exerce ?
Il est important de rappeler que dans le code de déontologie des psychologues, la pluralité a sa place tout autant que son autonomie à choisir ses outils et ses méthodes.
Or les dispositifs “plateformes” utilisent comme unique référentiel le Manuel Diagnostique et Statistique des troubles mentaux (DSM V) qui liste des symptômes sans se référer à la personne dans la dynamique de son existence. Ces dispositifs s’accompagnent ainsi d’une destruction progressive d’une conception humaniste des souffrances psychiques. Cette paramédicalisation va donc empêcher un très grand nombre de psychologues d’exercer en toute autonomie. Nous avons à œuvrer activement pour le maintien dans nos lieux d’exercice du pluralisme de nos orientations. Le gouvernement et les pouvoirs publics s’arrogent, telle La Gorgone, le pouvoir démesuré de figer la parole de chacun pour le faire entrer dans des catégories, des normes, des dispositifs, des plateformes.
Notre code de déontologie renvoie à nos fondamentaux éthiques et nous lie quelques soient nos approches. Il est notre socle au même titre que les différentes branches qui composent la psychologie.
Qu’apporte votre collectif en ce temps de lutte ?
Nous tentons d’avoir un regard global sur la situation, une compréhension des enjeux sur le plan sociétal et faire part au plus grand nombre de ce qui se passe en recontextualisant chaque recommandation, arrêté, mesure. Nous menons une veille vigilante et nous alertons en expliquant les implications.
La force de notre collectif semble être la rigueur des informations que nous partageons[15] et les recherches que nous entreprenons. Nous souhaitons donner à chacun la possibilité de connaître au mieux les enjeux pour notre profession, le public et la société.
Nous mettons l’accent sur la sensibilisation, la diffusion d’une culture “politique”, au sens large, celui qui renvoie au goût pour les affaires de la “cité”, de la communauté, et qui manque à notre profession. Permettre la mobilisation de la profession et ce dès l’université nous semble aujourd’hui une nécessité. Il en va de notre autonomie.
Au-delà de ce que nous affirmons dans la lettre ouverte, qui reste notre référence, nous sommes très attachés à une participation du “collectif”. Nous essayons de l’appliquer au mieux au sein du Collectif POP. Un mail est régulièrement envoyé aux cosignataires et fait du lien tout en informant. Beaucoup nous disent se sentir moins isolés et c’est bien un des objectifs. Contrer l’abattement que peuvent parfois générer les annonces en montrant que nous ne sommes pas seuls est essentiel. Nous sollicitons les cosignataires pour chaque courrier. L’expérience riche de la rédaction de cet article nous a permis des rencontres en distanciel – étant aux quatre coins de la France – et des discussions en petits groupes de travail, avant soumission aux cosignataires en fin d’étape. Cela a renforcé le souhait de favoriser le débat et de penser la mobilisation. Cela nous a également donné envie de proposer prochainement, au collectif, des temps de partage et de discussion pour permettre cette parole entre nous tous.
Notes
[1] Pétition · Signez la lettre pour le retrait de la proposition de loi sur un ordre des psychologues · Change.org
[2] https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/textes/l15b4055_proposition-loi
[3] Code de la Santé Publique
[4] https://cncdp.fr/index.php/presentation-de-la-cncdp
[5] Proposition de Loi
[6] http://www.codededeontologiedespsychologues.fr/ACTUALITES-Le-CEReDePSY-reagit-a.html
[7] https://presse.tripalio.fr/remboursement-psy-quand-gouvernement-pietine-role-parlementaires/
[8] Chèques Psy gratuits
[9] Intervention de l’Inter-Collège des Psychologues de la FPH PACA à la Convention du 25 septembre 2021 à la Bourse de Paris
[10]https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/comptes-rendus/cion-soc/l15cion-soc2021103_compte-rendu p 30
[11] Code de Déontologie des psychologues 2021 – Code de déontologie des psychologues. Code Français (codededeontologiedespsychologues.fr)
[12] un salaire équivalent à l’échelon 9 d’un psychologue dans la FPH en Maison de Santé, un “remboursement” (dérisoir sans dépassement d’honoraire possible) pour les libéraux
[13] Article 25 du Code de déontologie des psychologues
[14] Courrier de Michel Larive, Député de l’Ariège, du 21 septembre 2021 à Olivier Véran
[15] Drive du Collectif POP :
https://drive.google.com/folderview?id=10Vlzssnjv3C9KLEuJHgCP8sBEtT07Lci